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Les plages vendéennes en Ufolep ?


Maurice AUTOBUS

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Oui, pas étonnant que la moyenne soit faible, même si la véritable est probablement à 38 ou 39.

Ce qui est bien désormais, c'est qu'on arrive désormais à trouver sur internet des bouts de vidéo filmées depuis les motos ou les voitures. La qualité est aléatoire, mais ça donne une idée de ce qui se passe. C'est assez impressionnant.

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  • 3 weeks later...

Je connais un première catégorie de 34 ans qui s'entraine la nuit (il travaille jusque 18h30), il roule l'hiver dans la nuit, la pluie, le froid souvent 100km en prenant les kom; et il marche pas mal en course. Il fait le métier à fond,il aime le vélo, pour moi il a autant de valeur qu'un pro qui possède toutes les facilités pour s'épanouir.

Au delà de çà je discutais la semaine dernière avec un Pro Continental, il me parlais du fossé qu'il y avait entre les équipes World Tour et les Continental et que cela tenait surtout du niveau autrement plus élevé des courses World Tour. Il me citait des noms de gars qu'il battait régulièrement en amateur et qui sont maintenant intouchables par lui car évoluant en World Tour.

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Le facteur limitant, c'est avant tout la cylindrée, le moteur. Certains ont les capacités de progresser encore une fois passés à l'échelon supérieur, d'autres non. C'est aussi simple que cela. Il faut simplement en prendre conscience le plus rapidement possible, et ensuite choisir de s'épanouir au niveau qui correspond le mieux.

Je connais des pros ou ex-pros qui ont fait le Tour de France, et qui disent : "plus jamais". A ce niveau-là, ce n'est plus une question d'investissement personnel, ou de faire le métier à fond. C'est juste qu'il manque quelques point de VO2 max et qu'on n'y peut rien !

Mais je confirme ce que tu dis. Autant la différence de niveau entre Continental et amateur de très bon niveau est ténue, autant le fossé entre Continental et World Tour est énorme. Et dans les équipes World Tour, peu de coureurs sont vraiment épanouis et heureux de leur situation (sauf peut-être niveau salaire), car ils ne font que subir tout au long de l'année.

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C'est marrant j'aurais cru que ca se jouait plus sur les capacités de récupération et d'endurance (dans le sens profil de puissance) que sur la VO2 max seule. Qu'il fallait justement ce truc en plus que le seul moteur. Finalement ils se tiennent tous (sauf les coureurs hors norme) autour des 82-85 ?

J'avais l'impression que la charge d'entrainement et le rythme en course étaient très usants à ce niveau et que pas mal de coureurs ne pouvaient finalement pas suivre toute l'année. On doit être nombreux a atteindre rapidement un état de sur-entrainement avec même une fraction de ce que font les pros. 

Mais effectivement on beau s'entraîner du mieux qu'on le puisse, le moteur est de série on n'y peut rien, on ne peut pas changer de catégorie par la volonté. C'est bon pour ca qu'on ne peut pas reprocher son niveau à qui que ce soit. 

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J'aime bien votre discussion sur ce qui fait ou non qu'une personne peut ou non "supporter" ou "subir" à un certain niveau de pratique (du moyen au plus haut niveau). Cela me fait immanquablement penser que ceci procède identiquement pour toutes activités ou professions liées au départ à la passion, qui se transforme on non en excellence quoique soit le niveau de départ.

Dans toute profession necessitant un niveau d'excellence minimum au départ (même en politique quoiqu'en pense la majorité qui pense qu'il n'y a que des vaniteux vénaux) il y a le risque de se confronter à son propre plafont de verre: la question étant va t-on l'exploser et/ou quand faut -il stoper sont investissement personnel si la progession ne semble plus au rendez vous...?

Mais plus précisement, à quel instant as-tu pensé toi J-Guy, dont on connait juste un peu l'histoire, que tu ne voulais, ne désirais ne pouvais ou ne "sentais" plus la passion t'emener vers de plus hautes marches en cyclisme?

Je sais que c'est une question perso, mais j'aimerais plus comprendre si c'est par une reflexion introspective ou plus par une envie de faire autre chose professionellement (on simplement que tu ne pouvais plus physiquement), que juste suivre sa passion jusqu'au bout et en faire son métier?

Tu n'es pas obligé de répondre je peux comprendre, mais cela est plus une reflexion sur ce que la passion peut amener ou non à accomplir ou pas, à cause de ses propre limites ou quand elle est confrontée aux contingences du monde autour de soi ou même de la pression sociale

Michel

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Jalabert champion de France militaire et dans la short-list pour participer aux JO de Seoul 1988 alors qu'il n'est que "Espoir 2" (je ne connait pas les termes de l'époque), J-F champion de France amateur vers 1982-1983 après une échappée solitaire de plus de cent bornes... 

Gros troll va!📢

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Trouve moi un mec crédible sur ce forum qui te suive quand tu annonces que champion de France amateur, c'est à la portée d'un coureur amateur "très moyen".

Quant en parallèle à ça on annonce à ses interlocuteurs qu'il ne connaissent pas grand-chose au cyclisme et/ou qu'ils ont des propos débiles, oui, on est juste là pour troller.

📢

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