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Course/entrainement


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Bonjour,

J'ai un souci récurrent qui comment vraiment à me dégouter du vélo, je ne prends plus aucun plaisir à être sur un vélo...

A la moindre accélération en course je suis incapable de récupérer et je lâche mètre par mètre avant d'exploser au bout de 5km.

Je me suis aperçu que j'avais besoin de beaucoup d'échauffement, je fonctionne un peu au diesel. Mais aujourd'hui j'ai fais la course de Domsure (dans l'Ain). C'est parti doucement, j'avais 34 km/h de moyenne, je me sentais super bien, je suis sortis du peloton, on a du rester 2 min avant de se faire reprendre, et depuis incapable d'accélérer. Du coup, lâché avant la fin du tout, monté a 212 au cardio (j'y monte tout le temps d'ailleurs...) et c'est à chaque fois comme ça.

Pourtant à l'entrainement, je pratique le fractionné, quelques accélérations des portions en force, pas plus tard que la semaine dernière j'ai roulé 90 km en 31 km/h de moyenne avec 3 cols et la moitié du parcours en vent de face. Je fais la plupart de mes entrainements en meilleur forme qu'en course (plus d'accélérations), je prends du rythme en relance derrière les poids lourds ou voiture sans permis, je fais des petites séances de force quand il y a du vent de face, et à chaque fois je ne me sens pas essouflé, pourtant je fais en sorte de bien me mettre dans le rouge dans certains cas, je récupère très rapidement et je repars.

Mais dès que j'arrive en course, 0 jambe, 0 souffle nada. Je fais bien attention à bien manger quelques heures avant (et c'est pas du macdo), je roule 1h tranquille la veille si j'en ai l'occasion, j'essaye de m'échauffer correctement (en général, à ce moment, je le sais tout de suite si je vais me faire lâché).

Si vous savez pourquoi on peut avoir des jambes en entrainement et ne plus rien avoir en course, je suis à l'écoute.

Yohan

 

PS : je n'arrive même pas fatigué, car si je pars en entrainement le lendemain de course (en étant lâché et arrivé à genoux), c'est comme si je n'avais jamais fais de course la veille...

C'est ma sixième année de vélo et les courses où j'ai finis dans un peloton, je les comptes sur les doigts de la main, et pourtant j'en fais dès que je peux. Je commence vraiment à perdre patience et depuis quelques temps je réfléchis à arrêter le vélo.

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C'est ce que j'essaye de faire plus ou moins. Quand je pars en sortie uniquement force ou fractionné, c'est sortie courte mais c'etait de 1h30.

Pour la course j'y pensais, que je pouvais etre cramé, mais le lendemain de la course, je suis d'attaque...

Je te remercie de tes conseils, que je vais essayer de suivre en étant un peu plus précis sur mes sorties, on verra si ça commence à payer dans 1 mois. (Il manque pas grand chose pourtant, je suis à l'aise dans les cols, ainsi que dans des portions en rythmes, se sont les accélérations et/ou changements de rythmes qui font mal)

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Je verrais ça mi mai.

J'ai encore une course mardi (je reste dans le peloton et je sors tout a la fin comme ça je sauterai pas^^). Ensuite on pars une semaine en bateau cargo donc le vélo ça va etre compliqué (ptet home trainer avec l'air marin) et j'ai la course du club dès mon retour, circuit de 1k avec des relances, ça me fera travailler.

Quand tu me dis de monter à bloc, est ce que je choisis un braquet, disons où je monte tout en forçant mais avec un certain rythme ou je met tout à droite carrément ?

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Je vois 😃  n'ayant jamais fait sauté quelqu'un, on va en tester plusieurs :)

Mais au moins je sais sur quoi travailler, je pense que c'est exactement ce qui me manque ces petites boss.

Je te remercie beaucoup des conseils, je verrai que ce que ça donne. Et bon rétablissement à toi (ou du moins bonne continuation car j'ai pu lire que tu recupères assez bien)

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bonsoir a tous 

Alors moi j'ai lu ce post hier soir et je me suis dit que je faisais un peu n'importe quoi quand je roulais lors de mes sorties.

je m'explique : 

je suis plutôt un rouleur "puissant" mais un peu lourd j'ai plus de mal quant la route s'élève. Mes sorties consistaient a rouler a mon rythme assez fort pour moi sans me mettre dans le rouge (80 à 120 km pour 31/32+Km/h). donc aujourd'hui j'ai décidé de mettre pratique vos conseils et votre expérience... 

resultat:

parcourt d'une heure avec des cotes autour de chez moi , des pentes de 600 et 800m de long pour un % de 5 à 13 moyenne de 27km/h.

Bon , pour les cotes j'arrive pas a les faire en entier à fond  pour le moment, je verrai avec le temps...

je suis rentré mort mais premières montées et accélérations etaient sèches et rapides mais sur les dernières c'était plus le même cycliste!! Je compte réaliser 1 ou 2 sorties de ce genre par semaine , on verra comment cela évoluera....

merci a tous

 

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Moi c'est le contraire, plus à l'aise en montée.

Dès le weekend prochain, je vais suivre les conseils de Joachim et Julien : plus d'échauffement et au moins une séance de 1h sur une côte a faire plusieurs fois à bloc, sans délaisser le reste du fractionner et faire quelques sorties de force sur du plat, du genre une grosse moyenne sur plusieurs kilomètres.

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Je n'ai pas oublié les 2x1h .

Je n'ai pas l'impression d'arriver cramer aux courses, j'ai du mal dès que j'accélère, au bout de 1h ça va mieux (en général je suis déjà laché) et quand le peloton prends un tour je met dedans et j'ai les jambes qui fourmillent un peu, mais si j'accélère je saute direct. Je n'arrive pas à maintenir un changement rythme en course que je tiens à l'entraînement. C'est pour ça que j'ai surtout cité les bosses à remonter plusieurs fois, à mon sens c'est ce qui doit me manquer le plus. Je ne dénigre pas la récupération.

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Je suis d'accord avec Mauro et encore plus vrai en fonction de l'age.

J'ai 53 ans et j'ai commencé les courses (ufolep gs) l'année dernière, bien sûr qu'il fallait un temps d'adaptation pour suivre et avoir le rythme.  Mais après je n'ai plus fait de spécifique, que de la récup le lundi et une sortie de foncier le mercredi et un petit déblocage le samedi, puis la course le dimanche.

Cette année je suis monté en 3 et je reste fidèle à mon programme, j'ai souffert au début, mais maintenant j'ai pris le rythme, il ne faut pas oublier que le repos fait parti de l'entrainement, plus important avec l'age.

C'est pareil dans les "autres disciplines" à 20 ans tu pouvais passer trois jours à faire la fête, un jour de repos et tu remettais ça, maintenant une soirée de folies et c'est pratiquement une semaine pour récupérer !  🙄

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J'ai besoin de m'entrainer, même si je cours toutes les semaines, sinon j'ai de mauvaises sensations et je me sens encrassé. En milieu de semaine soit une sortie un peu dur (sans excès non plus), soit une longue sortie (3h sans se faire mal). Sinon juste des sorties de 1h-1h30 en douceur.

Ce weekend j'ai fais 3 courses, préparées de 3 façon légèrement différentes (plus ou moins volontaire) :

Samedi : Repas 2h avant et echauffement très rapide = Laché au 2e km (chute en bas d'une bosse qui a fais un gros trou et pas pu remonté), mais le ventre brassait, peu de souffle, jambes a froid, de bonnes sensation après 1h de route (mais le jus laissé au debut fait aussi son effet).

Dimanche : Repas + léger 3h avant et bon echauffement (10km avec des variations de rythme) = bonnes sensations en course, un peu court en bosse. Tentative d'echappée et impossible de récupérer, laché sur 2km et abandon (petage de plomb sur le velo et grosse envie d'arreter le velo, d'ou mon post pour rechercher des conseils).

Mardi : Repas léger 3h avant la course + bon echauffement avec montée en puissance et variation de rythme = Bonnes sensations, quelques attaques et finit dans l'échappée (9e au final) mais un peu court sur les relances et sur le maintien d'un rythme en etant tout seul (lors d'une attaque). 9e en Pass c'est pas exceptionnel mais quand ça fait 6 ans qu'on est laché à la plupart des courses, ça remonte le moral. Même si c'est la 1ere année où je m'entraine plus en compétiteur qu'en randonneur.

 

Mon bilan : difficultés sur les changements de rythme et sur le maintien de rythme. Ce que ma dit Joachim sur une bosse courte à grimper plusieurs fois devait me faire un grand bien. Ainsi que quelques portions sur plusieurs km avec une grosse moyenne. Sans négliger les repos.

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