Michel CREPEL Posté le 30 décembre 2015 Share Posté le 30 décembre 2015 Merci, Jacques, tu m'as devancé mais je n'en attendais pas moins de toi ! 😉 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jacques LITAIZE Posté le 30 décembre 2015 Share Posté le 30 décembre 2015 J'ai lâchement profité de ton sommeil pour me faire mousser ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michel CREPEL Posté le 30 décembre 2015 Share Posté le 30 décembre 2015 En effet, Yann, on aurait pu, à juste titre, subodorer que seul le "Cannibale", en compagnie peut être du "Gitan" ou d'un Van Looy des grands jours, auraient accompli ce genre d'exploit "contre nature", or il n'en est rien. Et pourtant, comme le mentionne Jacques, le couperet est passé si près en deux occasions. En 1969, en effet, il termine second et doit abdiquer face à un Walter Godefroot, ce jour là, imprenable. Merckx entamait, cette saison là, une carrière qui allait s'avérer être monstrueuse. Son Tour des Flandres, une semaine plus tôt fut un bijou de panache mêlé de folie ! Même Driessens a tenté en vain de le stopper dans sa tentative suicidaire. Le doigt d'honneur brandit par le jeune Eddy à l'attention et l'intention du brave Guillaume fut la seule réponse qu'il reçu à sa supplication. La cohorte Transalpine (Gimondi, Bitossi, Dancelli, Basso, excusez du peu) lancée à ses trousses en demeurèrent "baba" d'admiration et d'effroi devant tant de classe faîte homme ! C'est en 1975 qu'Eddy aurait eu le plus de chance de réaliser ce Triptyque bien qu'il du rendre les armes contre le maître des "pavetons", Roger de Vlaeminck, au sommet de son art ! Cette année là il termine en compagnie d'une groupe de quatre flahutes rompus à ce genre de course de dingues, tous d'outre Quiévrain, naturellement, André Dierickx, Marc Demeyer et les deux meilleurs ennemis chasseurs de la classiques (avec Van Looy) de tous les temps. Merckx partait, pourtant avec un sacré avantage, en effet, Roger avait rarement très rarement battu Eddy au sprint lors d'une confrontation dans une épreuve de ce calibre là. Le "Gitan" a bénéficié, sur l'anneau de Roubaix, de l'adage : "C'était l'exception qui confirmerait la règle" pour asseoir un peu plus sa main-mise sur l'"Enfer du Nord" qu'il s'adjugera une quatrième fois en 1977. 😉 Si tu apprécies ces périodes de l'histoire de la "Petite Reine" sans te prendre le choux, rejoins nous sur https://www.facebook.com/groups/109190370243/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Clementine SETA Posté le 30 décembre 2015 Share Posté le 30 décembre 2015 Elle arrive, Jacky. Encore trois ou quatre jours de patience...+ pour répondre au sujet:1) Une victoire d'étape en solitaire au sommet du Stelvio, après m'être échappée dans la montée du Gavia.2) Un règlement au sprint d'un groupe de 6 coureurs après un Paris-Roubaix boueux et épique.3) Une courte victoire au sommet de l'Angliru, en conservant 30 secondes sur le peloton des favoris lancé à mes trousses...Et s'il faut être plus raisonnable - en continuant largement à rêver cependant:1) Une place de première féminine sur la montée chronométrée du Relais du Chat, en passant juste sous la barre des 1h05 d'ascension.2) Une petite revanche sur la seule fois où j'avais couru la Cyclomorbihan à Plouay: une victoire chez les filles, qui m'avait échappé pour quelques minutes seulement il y a 3 ou 4 ans. C'est pas loin de mon chez-moi d'origine; ça m'aurait fait plaisir d'être devant...3) Et puis, dans le genre totalement improbable: une place dans les 15 meilleures filles sur la Transjurassienne. Mais là, je rêve totalement! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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