Rodolphe LOURD Posté le 6 juillet 2015 Posté le 6 juillet 2015 Vent favorable depuis Valloire jusqu'à l'arrivée, donc nickel... en contrepartie bon vent de face dans la Maurienne, là où on grille pas mal de cartouches.Par rapport à l'an dernier on a tous gagné énormément de temps dans la descente du Lautaret (4 minutes en 12 km !) ; l'aller jusqu'à Susa dans le groupe de tête était nettement plus rapide qu'en 2014. Je pense que ça roulait aussi plus fort en Maurienne (Paiani est vraiment une machine à ce niveau) ; du coup malgré une défaillance XXL dans le Galibier je gagne 1/4h sur le temps global. Cette année nous passions également par le tunnel, soit un bon km très difficile de moins à gravir.La météo l'explique en partie, mais j'ai aussi pris un petit risque dans le Montgenèvre pour me retrouver devant très loin de l'arrivée... pari payant mais compliqué à gérer sur la fin.
François BARTHOU Posté le 6 juillet 2015 Posté le 6 juillet 2015 Faire les 60 derniers km d'une telle épreuve avec le vent favorable, cela fait la différence, ne serait-ce que moralement...Par contre, escamoter le dernier km du Galibier, c'est à mon avis plutôt dommage! Quelle en était la raison?
Rodolphe LOURD Posté le 6 juillet 2015 Posté le 6 juillet 2015 Il paraît qu'il y avait des travaux tout en haut, ou de fortes rafales... je ne connais pas la raison exacte, mais sur l'instant j'étais fichtrement content d'escamoter ces derniers 100 m de dénivelé ! Et je n'étais pas le seul vu l'état de chacun au sommet.
Rodolphe LOURD Posté le 7 juillet 2015 Posté le 7 juillet 2015 Bah non Eric, je confirme la version de Joachim... son bidon survivant avait une sale gueule :-P
Rémi ROCHELET Posté le 10 juillet 2015 Posté le 10 juillet 2015 Le bibon est né d'un croisement entre un bidon et un gibbon : drôle de spécimen ! 😆
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