Jean-Pierre MADER Posté le 18 février 2015 Share Posté le 18 février 2015 En feuilletant une ancienne revue "le cycle " je tombe sur une pub des jantes AVA à boyauxModèle SAPHIR 310 grModèle Topaze 295 grModèle Rubis 250grOn ne sait plus fabriquer ce type de jante de nos joursA ce poids il faut prendre du carbone et cela coûte une fortuneA méditer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ghislain PHILIPPIN Posté le 18 février 2015 Share Posté le 18 février 2015 Ben OuiLes temps changent ,que veux tu .comme dit si bien ( la pub) ca c'etait avant .Si on voulait on pourrait toujours fabriquer ce genre de jante ;MAIS ,tout est devenu une histoire de fric .( un max en peut de temps )Et en fabriquant du bas de Gamme Comme tu écrits ,cela coute une fortune .Ghislain 😉 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Maurice AUTOBUS Posté le 18 février 2015 Share Posté le 18 février 2015 Ce n'est pas qu'on ne sait plus. C'est que le "modèle courant" des roues a changé.Autrefois, la jante était basse et légère, mais tu avais des roues à 32/36 rayons pour assurer la solidité. Ca faisait malgré tout des roues plutôt souples.Désormais, quand tu as 16 ou 20 rayons seulement, il faut bien aller chercher de la solidité ailleurs. Donc c'est sur la jante, qui est plus lourde et doit résister à des tensions bien plus fortes qu'autrefois.D'ailleurs, un artisan te dira qu'une jante basse à moins de 400 g, ça tortille bien au montage. Et ça ne donne pas des roues très rigides. Alors 250 g comme ton modèle Rubis, je n'ose même pas imaginer ce que ça donnait dans les pattes d'un première catégorie de l'époque. Probable qu'a la moindre relance en danseuse, la jante touchait les patins... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jean-Pierre MADER Posté le 19 février 2015 Auteur Share Posté le 19 février 2015 Moyeux 32 rayons et à flasques de manière à réduire la longueur du rayon.de nos jours si tu veux une jante basse à boyaux en alu tu n'as guère que la Mavic Reflex ou l'Ambrosio Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Maurice AUTOBUS Posté le 19 février 2015 Share Posté le 19 février 2015 En fait, il y en a plus qu'on ne pense, que ce soit à pneus ou à boyaux. Mais c'est un peu hors des circuits commerciaux classiques. Il faut faire la démarche. N'empêche que, pour avoir fait la comparaison récemment, des roues 32 ou 36 rayons à jante basse, bien tendues, ça n'a rien à envier aux bouts de bois qu'on nous vend une fortune aujourd'hui.Ma seule interrogation, c'est de savoir comment mes rayons modernes vont se comporter par rapport à ceux d'autrefois. Parce que Benoit à raison, dans les années 80, ça passait son temps à péter. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jean-Pierre MADER Posté le 19 février 2015 Auteur Share Posté le 19 février 2015 C'est sur que les jantes à boyaux légères étaient nombreuses sur le marché par contre moins solides qu'actuellement.quant aux rayons , je ne suis pas sur que les doubles épaisseurs existaient déjà, c'est pour ça qu'ils pétaient aux extrémitésN'empêche que pour faire une roue légère et rigide on jouait sur le moyeu qui était à grande flasque type Campa Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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