Pascal LUITEL Posté le 29 janvier 2015 Share Posté le 29 janvier 2015 pour se mettre dans l'ambiance historique on peut effectivement se plonger dans les écrits de Jacques Seray et de Bernard Déon Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Marie-Noëlle FROMENT Posté le 30 janvier 2015 Share Posté le 30 janvier 2015 Non, non, pas de PBP pour moi cette année: je ne m'en sens ni physiquement ni moralement capable; en fait tout simplement, je n'ai pas l'envie, chose essentielle pour se lancer dans l'aventure...je l'ai fait 2 fois de façons différentes: en 2007, en groupe avec une voiture (en fait, je voulais partir en solo mais les conditions climatiques et le côté "première fois" m'ont fait me rattacher à la voiture de collègues de club) et en 2011, en solo/autonomie/non drafting, là je me suis vraiment fait plaisir! J'ai pour l'instant l'impression d'avoir fait le tour de la question. Mais pourquoi pas en 2019?Je ferai peut être PBP 2015 mais dans une voiture d'assistance, histoire de rendre service et de voir comment ça se passe de l'autre côté... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alain COLLONGUES Posté le 30 janvier 2015 Share Posté le 30 janvier 2015 Bien sûr si tu n'en as pas envie, il manque l'essentiel, mais méfie-toi des regrets ensuite. J'ai fait ça après 1971, en n'y allant pas en 1975. Eh bien je l'ai tellement regretté, quand j'ai vu mes copains partir sans moi, que je me suis juré que ça ne se reproduirait plus et pour l'instant j'ai tenu parole. PBP en voiture d'assistance, bien sûr c'est sympa, mais moralement ça doit être épouvantable. Tu as encore le temps de changer d'avis... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Marie-Noëlle FROMENT Posté le 30 janvier 2015 Share Posté le 30 janvier 2015 Je vais sans doute faire quelques brevets, j'aimerais même faire toute la série de 200 à 600 car cette année, pour la première fois, c'est mon club qui les organise pour la région orléanaise. Mais même si je fais le 600, je ne crois pas que je changerai d'avis; le PBP, il me faut l'avoir dans la tête dès la saison précédente... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bernard PIGUET Posté le 30 janvier 2015 Share Posté le 30 janvier 2015 Très réaliste et lucide Marie-Noëlle, en effet ce type d'épreuve fait appel à la pensée permanente et en principe c'est en novembre que l'on décide. Alain donne l'impression de vouloir repartir ? Mais le Lyonnais D.R ne va peut-être pas en rester là, lui aussi. Comment font-ils ? Alors BRAVO d'avance.A tous, j'avais oublié de préciser qu'en 1987, c'était 220 Américains et 80 Canadiens qui avaient traversé l'atlantique, pour cette grande épopée. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alain COLLONGUES Posté le 31 janvier 2015 Share Posté le 31 janvier 2015 Il y a le lyonnais D.R. mais aussi le parisien B.I. qui prendront probablement - et je leur souhaite bien sincèrement de réussir - leur douzième départ. "Comment font-ils ?" disais-tu. A mon avis, le plus simplement du monde, sans se prendre la tête avec des coaches, des VO2, des capteurs de fréquences, des cardios, des GPS et autres gadgets. Je crois même pouvoir dire qu'il ne leur viendrait pas à l'idée lorsqu'ils vont rouler de parler de "travail" (au seuil, en zone de ceci ou de cela) comme on l'entend souvent à présent. Ils roulent comme ils le sentent et pour leur seul plaisir. Et quand vient le moment de Paris-Brest, ils sont là comme à un rendez-vous tout à fait naturel qui prolongera aussi longtemps qu'ils en seront capables leur goût de pédaler. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Maurice AUTOBUS Posté le 31 janvier 2015 Share Posté le 31 janvier 2015 Je viens de lire l'intégralité de la discussion d'un coup et je trouve que vous avez un peu vite dédouané les organisateurs de PBP de ce qui arrive à Bordeaux-Paris. C'est probablement l'affection que vous portez à cette épreuve qui vous conduit à cette conclusion.Mais il y a depuis bien longtemps une volonté des organisateurs de PBP de ne pas se mélanger avec les autres et à mon sens, c'est avant tout au détriment des pratiquants. S'il y a quelques cyclos endurcis qui peuvent faire plusieurs 600, pour la plupart, un dans l'année, c'est déjà exceptionnel.Alors pourquoi ne pas valider n'importe quelle épreuve ou l'on atteste que le participant à bien effectué 600 km ? La seule raison objective d'exiger l'accomplissement des brevets, c'est de s'assurer que les gens ont une préparation à peu près correcte.Alors 600 km en BRM ou 600 km sur Bordeaux-Paris, c'est toujours 600 km. C'est le kilo de plumes et le kilo de plomb...Ca ne couterait rien aux organisateurs de PBP de faire preuve d'un peu de souplesse. Ce serait même un geste gratuit appréciable car il n'apporterait rien à leur épreuve. En revanche, il donnerait un coup de pouce à un autre événement du même type. Et il n'y en a pas tant que ça.Là, c'est vraiment une façon d'écraser une "concurrence" en jouant les vierges effarouchées.Après, que les organisateurs de BP aient manqué de prudence en voulant organiser une épreuve coûteuse tous les ans alors qu'il n'y a probablement pas le public pour ça, c'est autre chose. Vu le petit nombre de candidats à de telles distances, il serait surement sage d'organiser les deux épreuves en alternance, de façon à ce qu'il y ait seulement un rendez-vous tous les deux ans. C'est comme pour les JO, c'est aussi la rareté qui fait le sel de ce genre d'épreuves. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bernard PIGUET Posté le 31 janvier 2015 Share Posté le 31 janvier 2015 Alain, histoire de plaisanter et de vous charrier un peu. Car je connais la maxime "quand on aime, on ne compte pas". car j'immagines qu'il y aura aussi le président et son frangin, et pourquoi n'emmènerai t-il pas le gamin pour bronzer un peu ?. et puis il faudrait un sérieux raz de marée de St Nazaire à Angers, pour que le Jean Claude rate le départ. Je connais moins les autres.Mais quand même pour en revenir à Bordeaux-Paris qui est le sujet, le grave accident du concepteur 2014, a peut-être aussi pesé dans la décision. Car son cas demeure dramatique, et il convient de ne pas l'oublier, il est des nôtres. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pascal LUITEL Posté le 31 janvier 2015 Share Posté le 31 janvier 2015 un BRM de 600 km n'est pas fléché et il n'y a ni motos ni voitures d'assistance. il faut se débrouiller pour suivre le trajet proposé à la différence de bordeaux-paris. donc à mon sens, c'est plus formateur et plus utile dans la préparation Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pascal LUITEL Posté le 31 janvier 2015 Share Posté le 31 janvier 2015 et comme il y a beaucoup de BRM 600 dans toute la France, on est souvent esseulé pour pédaler, ce qui est également riche d'expérience, notamment la nuit sous la pluie Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alain COLLONGUES Posté le 31 janvier 2015 Share Posté le 31 janvier 2015 Tu as raison, pour beaucoup d'entre nous, les multi-récidivistes, il faudrait un tsunami pour louper le départ. C'est terrible une telle accoutumance, et pourtant un jour il faudra bien admettre que ce n'est plus raisonnable. Ne pas faire le PBP de trop, pas simple, et c'est peut-être le prochain... Pour info Friedhelm Lixenfeld, doyen en 2011 et né en 1930, est en pleine forme. Il a encore fait un 600 l'an dernier (un vrai BRM, pas un ersatz). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Messages recommandés