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Au sud c était les .........


Pierre HEROIN

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merci rémy !!! qué delires on a eu sur nos courses , suis en contat avec des pts vieux de notre epoque !! que t as peut ere moins connu , courtial , trimaille , le pere calzati ,notar !! font toujours du velo zont pas trop vieillis ni grossi , notar fabrique des velos 

pour le mail je l ai pas  je sais meme pas celui de mes gosses du mal a retenir le mien je demanderai , il y a jp andreu et richaud qui etait commisaire et lepeurien dans l aventure du club 

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Je vais me demerder de le trouver....Avec ton ex Andreu, Richaud et Lepeurien ca me donne envie de sacrifier de mon temps a etre utile. Si on ne trouve pas la perle rare, on pourra toujours se souvenir du bon vieux temps.

Le père Notar....ça fait plaisir de retourner en enfance...Sais s'il se rappelle de moi, mais moi de lui, oui. Passe lui mes amitiés.

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Rémy,dans le 65 ,dans les années reines du cyclisme,il se courait un tas de cri cri et avec les primes conséquentes, on voyait les meilleurs qui étaient des indépendants ,c'est vrai il y avait des mafias, mais ça roulait très vite.C'est vrai aussi qu'il fallait marcher pour être dans ces mafias.Les petits couraillons comme moi,on se faisait une joie de s'aligner avec ces mecs sachant que des fois on allait prendre un tour ou plus.Maintenant les coureurs pleurent pour descendre de catégories,et même certains vont courir en ufolep pour gagner face à des cyclos sportifs,une bouteille de vin.Le cyclisme d'avant est bien mort,ça c'est une certitude.

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Et oui, Jean-Pierre, le cyclisme d'avant est bien mort. La roue tourne, des fois bien, des fois moins bien. Une certitude aussi tu as vécu ce vélo sans t'en offusquer. La maffia, plutôt les maffias, car quelquefois les ententes n'étaient toutes cordiales, c'était la règle de ce sport amateur (a temps plein....). Mais comme tu le souligne tres bien si "on marchait" il n'y avait pas de problèmes pour s'y retrouver. Et j'ai souvent été confronté a ma solitude du a une condition physique qui ne revenait pas, c'était la règle. Avec le métier tu allais chercher quatre sous ou tu filais un coup de main a un copain qui te le rendait plus tard ou pour lequel tu avais une dette. Dans ce milieu, tout n'était pas tendre, mais pour l'avoir vécu, je ne regrette vraiment rien.

Bonne route si tu continues a pédaler, moi j'ai choisi l'option jogging...tant que tiendrons les articulations.

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