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Puissance et entrainement


Emmanuel RIPOLL

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Après 40 ans de vélo aux sensations, je me suis laissé tenter par un capteur de puissance Stages. Je ne suis plus compétiteur, je roule pour le plaisir et la possibilité d'analyser la sortie sur l'ordinateur, au retour, a prolongé mon plaisir.

La moyenne a perdu pour moi toute sa valeur, je ne la regarde plus. En fait, je regrette d'y avoir fait attention pendant des années. Combien de fois, malgré l'expérience, me suis-je trompé sur les sensations et la moyenne ? Dans le fond, la moyenne ne serait intéressante que sur un vélodrome couvert.

J'ai couru , il y a longtemps avec une roue libre de 5 pignons, aujourd'hui, j'en ai dix pour rouler pour le plaisir. Cela rentabilise mon effort, pourtant cinq pignons faisaient l'affaire. Même chose pour le capteur de puissance, on peut très bien rouler sans, mais si on peut se l'offrir, on comprend très vite qu'on ne pourra plus revenir en arrière.

C'est un peu comme internet, ceux qui trouvent le capteur ridicule pourraient me répondre par courrier postal, mais je suppose qu'ils vont utiliser le*** pour ce type d'échanges. La nostalgie du bon vieux temps leur passera.

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Chacun est libre de trouver son plaisir dans la pratique qu'il préfère.

Autant je trouve nécessaire d'avoir besoin d'un minimum de kms dans les jambes pour faire des sorties qualitatives, autant je ne vois pas ce qui empêche de faire du qualitatif même si on n'est pas un pro.

Surtout qu'à volume de travail équivalent, le qualitatif permet d'atteindre un meilleur niveau.

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