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Pavés et 1ère semaine du TDF


Invité

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Exactement. Nous, gens du 21 ième siècle, qui n'avons pas connu les conditions de travail entre 1900 et je vais dire 1970, dans les mines, les champs, les fermes, les usines, avons pris l'habitude du confort matériel, physique. Les coureurs en bavent certes, pour bien moins payé qu'un footeux, mais quand même bien plus qu'un mineur, un fermier, un ouvrier d'avant la belle époque. Les sportifs professionnels ont choisi leur métier issu d'une passion. Les travailleurs ont subi ce qu'ils ont fait sans avoir le choix mais plutôt pour survivre. 

Pour ma part j'ai déjà fais Paris Roubaix en totalité 2 fois en cyclo dans des conditions humides en payant avec mon seul matériel, de mes deniers, sans soigneur, sans mécano, sans voiture suiveuse, sans masseur à l'arrivée, et avec de la casse matos à réparer de mon porte monnaie.  

Pour clore, je dirai que j'aime le cyclisme, les coureurs, l'ambiance, que je remets simplement les choses à leur place et que les coureurs sont quand même des courageux dans un sport le plus difficile avec le marathon, le raid extrême, le trail, la boxe (j'en ai fais...çà fait mal ! et je donnais plus que je recevais!!)

Bien à vous tous. Allez je m'en vais mettre des gardes boues sur mon vélo mulet et je vais aller pédaler autour des pavés pour humer l'ambiance entre les innombrables campings cars jonchés sur le parcours... des bretons, souvent nombreux, d'alleurs les mêmes qu'à Paris Roubaix (je salue çeux qui sont aux chateaux d'eau à Erre!!!), les Pyrénéens (j'en ai vus), les belges les meilleurs, les hollandais, les anglais, les américains si...si..., les allemands, les suisses.... 

Michel

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Exactement. Nous, gens du 21 ième siècle, qui n'avons pas connu les conditions de travail entre 1900 et je vais dire 1970, dans les mines, les champs, les fermes, les usines, avons pris l'habitude du confort matériel, physique. Les coureurs en bavent certes, pour bien moins payé qu'un footeux, mais quand même bien plus qu'un mineur, un fermier, un ouvrier d'avant la belle époque. Les sportifs professionnels ont choisi leur métier issu d'une passion. Les travailleurs ont subi ce qu'ils ont fait sans avoir le choix mais plutôt pour survivre. 

Pour ma part j'ai déjà fais Paris Roubaix en totalité 2 fois en cyclo dans des conditions humides en payant avec mon seul matériel, de mes deniers, sans soigneur, sans mécano, sans voiture suiveuse, sans masseur à l'arrivée, et avec de la casse matos à réparer de mon porte monnaie.  

Pour clore, je dirai que j'aime le cyclisme, les coureurs, l'ambiance, que je remets simplement les choses à leur place et que les coureurs sont quand même des courageux dans un sport le plus difficile avec le marathon, le raid extrême, le trail, la boxe (j'en ai fais...çà fait mal ! et je donnais plus que je recevais!!)

Bien à vous tous. Allez je m'en vais mettre des gardes boues sur mon vélo mulet et je vais aller pédaler autour des pavés pour humer l'ambiance entre les innombrables campings cars jonchés sur le parcours... des bretons, souvent nombreux, d'alleurs les mêmes qu'à Paris Roubaix (je salue çeux qui sont aux chateaux d'eau à Erre!!!), les Pyrénéens (j'en ai vus), les belges les meilleurs, les hollandais, les anglais, les américains si...si..., les allemands, les suisses.... 

Michel

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Exactement. Nous, gens du 21 ième siècle, qui n'avons pas connu les conditions de travail entre 1900 et je vais dire 1970, dans les mines, les champs, les fermes, les usines, avons pris l'habitude du confort matériel, physique. Les coureurs en bavent certes, pour bien moins payé qu'un footeux, mais quand même bien plus qu'un mineur, un fermier, un ouvrier d'avant la belle époque. Les sportifs professionnels ont choisi leur métier issu d'une passion. Les travailleurs ont subi ce qu'ils ont fait sans avoir le choix mais plutôt pour survivre. 

Pour ma part j'ai déjà fais Paris Roubaix en totalité 2 fois en cyclo dans des conditions humides en payant avec mon seul matériel, de mes deniers, sans soigneur, sans mécano, sans voiture suiveuse, sans masseur à l'arrivée, et avec de la casse matos à réparer de mon porte monnaie.  

Pour clore, je dirai que j'aime le cyclisme, les coureurs, l'ambiance, que je remets simplement les choses à leur place et que les coureurs sont quand même des courageux dans un sport le plus difficile avec le marathon, le raid extrême, le trail, la boxe (j'en ai fais...çà fait mal ! et je donnais plus que je recevais!!)

Bien à vous tous. Allez je m'en vais mettre des gardes boues sur mon vélo mulet et je vais aller pédaler autour des pavés pour humer l'ambiance entre les innombrables campings cars jonchés sur le parcours... des bretons, souvent nombreux, d'alleurs les mêmes qu'à Paris Roubaix (je salue çeux qui sont aux chateaux d'eau à Erre!!!), les Pyrénéens (j'en ai vus), les belges les meilleurs, les hollandais, les anglais, les américains si...si..., les allemands, les suisses.... 

Michel

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Bonjour Bernard, je pense au contraire que l'on peut mettre une étape pavée sur le Tour, justement car çà s'appelle Le Tour De France, sans discrimination, et que les pavés font partis de routes en France. De plus, les coureurs sont des cyclistes professionnels, c'est leur métier qu'ils doivent pratiquer dans toutes les conditions. Je ne vois pas pourquoi on privilégierait plutôt des grimpeurs, des rouleurs, des sprinteurs, des puncheurs au détriment des puissants agiles équilibristes. Certes il y a des risques de chutes qui annihilent toutes chances pour un vainqueur potentiel du tour, mais c'est le risque du métier, car c'est bien leur métier. 

Pour ma part, en tant que cycliste amateur, passionné, je n'aime pas rouler sur des pavés, bien que je sois plutôt profilé puissant comme un cancellara ou hushofdt par exemple, car c'est casse gueule, je n'ai pas pleins de roues diverses, de matos gratos, que je n'ai que 2 vélos, un titane, un carbone, que le matos morfle, et que je n'ai pas envie d'abîmer mes vélos, d'acheter pour de la casse. Faites 4 ou 5 secteurs pavés et ensuite inspectez vos roues, les portées de roulement de la douille, du pédalier, les rails et les serrages de selle, la patte de dérailleur, et vous m'en direz des nouvelles. 

Maintenant, si par challenge, un club cyclo me propose de faire Paris Roubaix, je veux bien le faire par défi ou sens collectif entre copains. Mais à plusieurs conditions : m'offrir le matériel qui va morfler, mettre des coudières, une mentonnière, des genouillères pour qu'en cas de chute, je ne sois pas en arrêt de travail, pour aller bosser et pouvoir continuer à m'occuper de mon petit (je suis veuf et seul à bord... pas le droit à l'erreur!), avoir un masseur kiné gratos. Mais je dis bien par defi ou sens collectif, mais pas par plaisir.

Cdlt. Michel 

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"Que l'on aille s'agglutiner sur les bords de routes, éventuellement pluvieuses, plein de bières et de saucisses, (pardon pour le pléonasme puisque naturellement bières et saucisses sont consubstantiels à ce type de spectateurs) en est une autre."

Je ne savais pas quoi manger ce midi,mais tu m'as donné une idée : ce sera de la saucisse, et ensuite j'irai les voir passer, sauf s'il drache.

Mais pour la bière, ce sera une Ch'ti, et une seule, après l'arrivée.

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Pour le vainqueur de l'étape, je pense qu'il sera parmi les suivants : Cancellara bien sûr, Demarre qui a fait un super Paris Roubaix malgré des crevaisons à répétitions et il a le gabarit qui passe bien, Vanmarcke, Bakelandts, Terpstra, et peut être Sagan qui est adroit, pas trop léger à moins qu'il soit prudent en vue du maillot vert ou une étape. Mais le meilleur, le mieux expérimenté, le meilleur profil pour cette étape est Cancellara qui l'a déjà fait plusieurs fois sous la pluie. Autre paramètre, l'avant dernier secteur pavé de plus de 3 kms, se fait dans le sens inverse de Paris Roubaix et en faux plat descendant, rendant l'adhérence encore moins bonne. Michel

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