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Vélo ... sport de guerrier


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Posté

sur le vélo je suis un" guerrier" parce que j ai la niaque pour ne pas lacher , ce n est certainement plus le cas au travail , car même si tu as le mental pour bien faire , on va quand même te dire que ce n est pas assez ou que tu peux faire mieux

sportivement jp

Posté
Cote psycho jsuis d accord ça a du m éviter une bonne analyse,je ne lâche rien sur le vélo mais par contre le cote guerrier ne m apporte rien dans la vie de tous les jours et surtout pas o boulot ou je n en branle pas une mais bon on ne peut pas être bon partout
Posté

Ouais, que ce soit à l'entraînement ou en compet, mais aussi dans la vie : désir de surpassement de moi-même, de progresser, de me défouler, mais pas de hargne ni de combativité, pas de courage non plus, on pédale parce qu'on le veut, y'a des choses beaucoup plus courageuses dans la vie...

 

à+

Posté

moi je trouves que ça aide dans la vie de tous les jours de faire du sport régulièrement surtout au travail je ne lache jamais les bras meme après une engueulade au contraire j'essaye de corriger les erreurs

Posté

Je n aime pas trop le mot " guerrier" lorsqu il est question de sport de loisir de plaisir ,il sous entend un ennemi...sans doute ce mot doit être réservé aux situations de conflit ...  et puis se dire guerrier lorsqu' on ne risque pas sa vie dans des situations ou l ennemi n existe pas...

ce message n 'est pas polémique (là le mot est bien trouvé de polemos en grecque la guerre) c est simplement mon ravis

Posté

Le mot de guerrier n'est pour moi que le prolongement de l'esprit de combativité nécessaire à la pratique d'un sport exigeant.

L'ennemi c'est surtout nous-même puisque pour progresser nous devons commencer par combattre notre penchant naturel à choisir de rester dans une situation de confort. Qui n'a jamais été en conflit avec lui-même avant de se décider (ou non) pour une nouvelle sortie ?

Posté

C'est vrai que guerrier dans le sport....

 

Perso, quand je jouais au foot, j'ai pris le parti de toujours jouer "avec" l'adversaire et non contre lui. Et oui, sans adversaire, pas de match, donc pas de jeu. Le jeu est plus intéressant quand l'autre joue bien et nous donne du fil à retordre. Donc, toujours respecter et apprécier l'adversaire... et ça m'a pas mal sourit.

Pour le biclou, c'est pareil, lors d'une course, les autres concurrents peuvent me pousser hors de mes retranchements, mais à la fin, ça se termine avec une bonne poignée de main avec le sourire !

Peace...

Posté

J'ai trouvé par hasard cette citation qui illustre bien le sujet du post

"Pratiqué avec sérieux, le sport n’a rien à voir avec le fair-play. Il déborde de jalousie haineuse, de bestialité, du mépris de toute règle, de plaisir sadique et de violence ; en d’autres mots, c’est la guerre, les fusils en moins. ’ George Orwell

à méditer

Posté

le mot travail je l'ai banni de mon vocabulaire, avec la retraite c'est un mot qui me fait horreur, peinard kejedi, et vélo longue promenade solitaire, et on dis bonjour aux vaches et aux moutons, de temps en temps aux humains.





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