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Plaisir sur un vélo


Invité

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Ca c'est à chacun de le trouver ! 

Moi par exemple, j'ai à la base fait du vélo pour les valeurs, parce que c'est un effort tellement difficile parfois que ces valeurs là je ne les ai trouvées que dans le vélo. Le pire c'est que je n'étais pas forcément fan de ce sport dans le sens où je ne prenais jusqu'à Septembre 2013 il y a 4 mois pas de plaisir ni de sensations particulières sur le vélo, juste pour le défi.

Maintenant, j'arrive à joindre ça avec le plaisir puisque je peux aujourd'hui dire que j'aime tout simplement ça, par exemple même hier où j'ai pris des trombes d'eau, du vent de face etc seul, ben j'me suis éclaté !

Voilà ma réponse personnelle à pourquoi le vélo, après cette réponse dépend de chacun mais je pense que c'est important de trouver le sens 

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la liberté, camarade, la liberté...partir où tu veux, quand tu veux, revenir parfois quand bon te semble, sans avoir à te justifier... et oui, parfois, prendre des litres d'eau sur la courge, mais ne pas renoncer pour autant ,en attendant des jours meilleurs... et puis, évoluer dans des paysages somptueux, lever la tête et "bouffer"  de l'espace, oxygéner les poumons ...et le cerveau...sentir que l'on est "en vie" , bien plus qu'en passant son samedi après-midi à pousser un caddy dans une grande surface déshumanisée...euuuuuh, j'ai dû oublié quelques trucs, mais voilà en gros pourquoi je prends encore du plaisir sur le vélo , même si l'hiver semble parfois "interminable"...

Cordialement!                Eric

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Le plaisir sur un vélo pour moi c'est avant tout un sentiment de liberté absolue, même avec un casque sur la tête 😃, libre d'accélérer à s'en faire mal à la gueule, libre de ralentir et de flâner au soleil un soir d'été après le boulot pour décompresser, libre d'apprécier les parfums et les odeurs de la nature changeant au gré des saisons, libre de griller les feux rouges, les stop, de remonter entre deux files de voiture...libre de rouler sans avoir à justifier pourquoi je le fais! 

😉

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Le gout de l'effort......C'est absolument tout. Et c'est pourquoi j'ai acheté une paire de baskets pour courir avec le même gout pour l'effort. C'est moins cher, moins dangereux, en course des classements de vieux (tranche de 10 ans), des courses toute l'année (ou presque) a moins de 30kms de la maison, une ambiance super, pas de grosse tête et une bouteille de rouge presque a chaque course (en provence) pour assouvir ma dope, le pied quoi.....

Tu m'as toujours pas dit dans quelle région tu roules.....

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Pour moi il y a plein de bonnes raisons de prendre du plaisir à vélo :

- Le plaisir de faire du sport, tout simplement. C'est scientifiquement prouvé : tout exercice physique engrange une production de dopamine, l'hormone du bonheur. Et plus on en produit, plus on en veut encore, c'est comme une drogue. Voilà pourquoi nous sommes des drogués du vélo !

- le plaisir de pratiquer une activité dans la nature et de faire du cyclotourisme. Malheureusement, ce cas de figure ne représente pas plus de 10% de ma pratique du vélo.

- le plaisir de se lancer des défis et de les réussir en se dépassant.

- le plaisir de partir à l'aventure sans savoir ce qui nous attend, du plaisir ou des galères... même les galères j'en garde un bon souvenir maintenant. Par exemple, en 2008, en descendant de Tignes à 70 km/h, ma roue s'est brusquement pliée en 8 et s'est donc coincée dans le cadre. J'ai réussi à contrôler mon dérapage pour ne pas tomber dans le ravin. J'ai alors rencontré un facteur sur la route qui m'a gentiment proposé de m'emmener à Val d'Isère dans sa camionnette pour que je trouve une nouvelle roue. J'ai commencé ensuite à sentir que j'avais une tendinite dans le talon d'Achille. Tant pis... le lendemain, j'ai quand même attaqué le col de l'Iseran que j'ai monté en grande partie avec une seule jambe. Après toutes ces péripéties, j'y suis donc arrivé, et je peux donc dire aujourd'hui que c'est un BON souvenir ! (j'avoue, j'ai abandonné mon périple quand même, après avoir descendu jusqu'à Saint Michel 😃)

- à chaque fois que je me retrouve contraint de marcher, je suis très frustré car je me dis toujours que j'irais beaucoup plus vite en faisant un effort équivalent sur un vélo. Celui-ci permet toujours d'avoir un rendement maximum contrairement aux autres moyens de transport à propulsion humaine.

- sans vouloir m'envoyer des fleurs, quand je circule à vélo en ville, j'ai le plaisir de pouvoir me dire que je suis finalement une des rares personnes intelligente qui peuple celle-ci. Il suffit d'observer et de constater que la plupart des gens font l'étrange choix de galérer dans une voiture ou dans les transports en communs. Le pire c'est qu'ils payent pour ça ! Et ils perdent une occasion de faire de l'exercice.

- dans une perspective écolo, c'est aussi un plaisir de se dire qu'on ne pollue pas, qu'on encombre pas la chaussée inutilement avec un véhicule de 2m de large et qu'on représente un danger bien moindre qu'un automobiliste

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La meilleure raison de faire du vélo que j'ai eu l'occasion de lire ici, c'était il n'y a pas très longtemps et c'était de Rémy Faure : c'est la roue qui est devant toi et que tu ne veux pas lâcher.

Quand plus rien d'autre ne compte. Cette putain de roue, le mètre de goudron qui est sous ton nez et tu ne vois rien d'autre. Le temps qui se rallonge, les minutes qui n'en finissent pas de passer alors que tu es certain de ne pas tenir. Et cette roue qui est toujours devant ton nez, tu tiens quand même. Tu rêves de lâcher pour que le coeur se calme, que la douleur s'arrête, mais tu ne lâches pas...

C'est bien plus fort que de se balader nez au vent ou d'avoir les jambes de ta vie. Un mètre de goudron et une roue.

Et le pire, c'est qu'a 55 balais, tu es comme un fou à attendre que ça recommence. Plus que 3 semaines, un mois au plus...

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Ce qui m'a toujours attiré dans le vélo c'est l'aspect compétitif, faire les pancartes, les GPM, etc...

Quand j'avais la vingtaine je roulais toujours en groupe ou presque, et c'était vraiment le pied de faire la gueguerre sur le vélo, ou simplement de se retrouver entre potes! Pour  moi Vincennes ou Longchamp sont des bouts de paradis sur terre :D

Par contre depuis que je me suis remis au vélo après 10 ans d'arrêt, je me retrouve au contraire à rouler la plupart du temps seul, et la je dois dire que je me fais assez chier sur un vélo.

Ça m'arrive régulièrement  de me demander pourquoi je fais du vélo, et si je ne devrais pas utiliser tout ce temps (et cet argent !) pour faire autre chose.

Heureusement j'oubli un peu tout ça lorsque les sensations sont bonnes et que les jambes tournent 'toutes seules', ou lorsque je roule dans des coins sympa (genre le Morvan :) ) , ou tout simplement lorsque les courses reprennent :D

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Plus sérieusement le vélo est le seul sport "porté" hormis la natation ,donc sans traumatisme physique ( sauf gamelle), et comme l'a dit Joachim tout est fluide, de plus l'effort physique crée des endorphines ( hormones du plaisir) qui provoque une sensation de bien etre .

Tout ca combiner fait que a peine rentrer on pense déjà a la prochaine sortie.

En plus pour moi les gens que je rencontre et les paysages changeant au cours de l'année accentue encore ce plaisir.

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