Jean GUY Posté le 24 janvier 2014 Share Posté le 24 janvier 2014 Certains s'échappent pour aller au café, ou avoir des maîtresses.Il y a sûrement un fond de vérité dans l'étude que tu décris, mais enfin y a pire façon de vivre aussi.Personnellement, je ressens surtout un manque physique évident lorsque je ne fais pas de sport. D'autres compensent par la drogue et l'alcool. Je préfère le sport. Mon organisme a été formaté progressivement pour ça. Cela a ensuite été mon activité principale, celle qui me permettait de gagner ma vie. Quand j'ai arrêté, j'ai fait la fête, je suis sorti, j'ai vécu autrement. mais au bout de six mois à ce régime, je me suis rendu compte que ma vie ce n'était pas ça. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jean GUY Posté le 24 janvier 2014 Share Posté le 24 janvier 2014 Y a juste un truc que tu n'as peut-être pas connu : le fait de faire corps avec son vélo, d'avoir de la force, de la puissance, des sensations. Quand t'as connu ça parce que tu t'es entraîné comme un fou et que c'est devenu ton niveau normal, c'est très dur de revenir en arrière. Pour moi, rouler une ou deux fois par semaine, aucun intérêt. En faisant ça, mon niveau dégringole, je n'ai plus de plaisir. Le vélo c'est dur.Quant à la compète, je m'en tape aujourd'hui. Plus rien à prouver. Ce n'est plus un objectif. Par contre, difficile de résister à la sensation de maîtriser son sujet.Alors des sportifs assimilés à des junkies, oui bien sûr. Mais si on s'amusait à analyser tous les comportements "anormaux" dans notre société, on aurait pas fini. J'en connais qui sont accrocs aux jeux. D'autres au canabis. D'autres à la bouffe. Plein le sont à la cigarette et à l'alcool. Qu'est-ce que ça cache? Sans doute des vides aussi. Il y a bien sûr eu un moment où je me suis posé la question. Maintenant j'arrête 🆒 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Samuel DENIS Posté le 24 janvier 2014 Share Posté le 24 janvier 2014 Je n'ai pas lu tout le sujet mais le titre me choque un peu! Je roule environs 15000 km/an et je bosse à temps plein. Donc merci de ne pas faire de généralités! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jean GUY Posté le 25 janvier 2014 Share Posté le 25 janvier 2014 Je connais, j'ai mis le pied dedans au même âge, et sans doute un peu avec le même style de dirigeant.Ce qui est marrant, c'est que je vois toujours mon premier président de club (qui approche de 80 ans et qui est toujours aussi dynamique). Et que par la suite de mon expérience, quand j'ai évolué, que je suis parti, que j'ai connu autre chose, eh bien c'est plutôt moi qui lui ai appris des trucs en matière d'entraînement, même si c'est toujours à adapter à des jeunes, ou à des moins jeunes de 4e catégorie FSGT. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Romain FOLLIAT1639476401 Posté le 25 janvier 2014 Share Posté le 25 janvier 2014 Cela dépend du métier de chacun, quelqu'un qui bosse dans un bureau n'aura pas la même fatigue qu'un mec qui fait de la manutention et qui bosse dans des conditions de travaille plus délicates. Chacun fait avec ces moyens et la fatigue qui l'engendre avec le travaille, ce n'est pas toujours facile. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Olivier BUISSON Posté le 27 janvier 2014 Share Posté le 27 janvier 2014 + 1 💋 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Marcel LEDOYEN Posté le 27 janvier 2014 Share Posté le 27 janvier 2014 donc si je résume:beaucoup de km --> pas bien dans sa têtemais si pas bien dans sa tête --> (beaucoup de km-pas beaucoup de km)donc si bien dans sa tête --> beaucoup de kmet si vélo>jardinage ou tricot-->on se sent bien-->on fait ce qu'on a envie de fairec'est ça, non? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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