pour les torche-culs français seul compte le tour de france, donc normal que les affaires de dope sur le Giro ou la vuelta ne les intéressent que très peu. Pourtant les exemples ne manquent pas. - Giro 2001, D. Frigo le mal-aimé viré alors qu'il est deuxième du général. - Giro 2002, S. Garzelli, leader de l'épreuve est controlé positif et Gibo Simoni est lui rattrapé par son dentiste et les bonbon de sa tante et sont donc exclus de l'épreuve. On peut aussi parler de l'affaire oil for drug.