Cyril LECLAIRE

Superbe sortie effectivement. J'ai des images pleins les yeux surtout de ce Port de Pailheres vraiment superbe. Vraiment un 2000 qui se mérite. Le versant depuis Ax est "abordable", celui par Mijanes est superbe aussi, j'y ais trouvé un coté méridional. Dur d'en profiter malgré tout car il est vraiment dur, surtout avec la fringale qui met les jambes en coton. Et que dire de la montée de Ax 3 domaines, je crois que c'est la montée la plus dur que j'ai fait en fin de sortie, elle ne laisse jamais tranquille. Enfin je reviendrai affronter ces 2 versants en meilleur forme, pour apprécier ces belles montées. Voilà un très bon week end bike qui s'achève avec hier Cap de Long et Pla d'Adet et aujourd'hui Pailheres et Bonascre (manquera 1 borne pour dire que je l'ai fait). Un vrai plaisir de partager la route avec Damien. A refaire à l'avenir Au plaisir Cyril

Bonjour à tous, je prépare mes sorties de ce week end dans les Pyrénées. Mon objectif c'est de taper des 2000 +, même si je dois tirer la langue. Pour samedi dans le 65 je me prévois donc le lac de cap de long, la hourquette d'ancizan (même si c'est pas un 2000 je suis amoureux de ce col) et en prospectant j'ai trouvé un col que je ne connaissais pas. Je comptais finir par le Pla d'Adet et me suis aperçu qu'il existait ce col du Portet à 2215m, qui bifurque sur la montée de Saint Lary vers 1450 m d'altitude. Certains d'entre vous connaissent t-il ce col ? Le profil est beau 17,8 kms d'ascension à 8 % de moyenne (aie aie aie). Ce qui m'importe surtout c'est de savoir si la route est en goudron ou bien terre, cailloux ou je ne sais quoi. Je suis en Conti GP4000S, mais j'ai envie d'éviter de crever. Merci pour vos réponses ! Cyril http://www.cyclos-cyclotes.org/col_portet.html

Ciao Christophe ! Avec grand plaisir l'été prochain oui, où même peut-être avant si nos calendriers coïncident. Je n'ai pas pu faire de sortie avec Luc qui était apparemment cramé des sorties montagneuses de la saison. De mon coté je n'en ais fais que 4 sur mes 15 jours de présence, dû aussi à une petite lassitude après l'étape du tour. Mais j'ai repris et ça m'a fait beaucoup de bien aussi de rouler sous la chaleur et dans des paysages pareil. Du coup j'ai un peu fait le même parcours que vous, puisque j'ai aussi escaladé le Turini plusieurs fois. 1 par l'Escarène et les 2 autres fois par Sospel (ce versant est vraiment juste sublime), d'abord minéral jusqu'à Moulinet et après les mythiques lacets dans les sapins. J'ai poussé aussi 2 fois jusqu'à la cime de l'Authion. Le col de Braus en début de sortie n'est pas trop difficile, mais par contre je te rejoins sur le fait que en fin de sortie après un long raid c'est dur ^^. En tout cas oui ce sera avec plaisir pour rouler tous ensemble :).

Superbe Christophe, merci pour ton récit et tes photos. J'ai l'impression de me revoir aussi. Cette année je l'ai fait 2 fois ce col depuis Menton. En juin j'étais en forme c'est bien passé, en août j'avais perdu la forme ça s'est bien passé aussi malgré tout. Même si je suis passé de 160 puls de moyenne à 171... La chaleur est intense en été ça c'est certain. Ces vapeurs de chaleur que tu décris vers le sommet on les voit très bien. C'est comme si un fer à repasser géant était entrain de lâcher sa vapeur. J'adore les odeurs qu'il y a et que tu décris très bien. Ce mélange minéral, pin maritime. A chaque fois que je pends ce virage en épingle à gauche à Saint Agnès, on arrive un peu plus loin dans un décor de far west je trouve. Bon je n'y ais jamais mis les pieds, mais à chaque fois que je me retrouve sur cette portion, je me dis que c'est pour ça que Lance Armstrong aime ce col, il y retrouve des paysages Américain. Sur ces routes, je pense toujours aux pros qui viennent s'y tester. Je n'ai pas eu la chance d'en croiser pour le moment. Vraiment pour tout ceux qui sont de passage sur Nice avec le vélo cette promenade est à faire. Depuis le col d'Eze, redescente sur Menton, la Madone, retour vers Nice par la Turbie. Ca fait 75 bornes, 1700 m de D+ et surtout des images souvenir à foison

Bon personne dispo du coup ? Je pense que je vais faire 2 jours de montagne sur le prochain week end. Le programme du samedi du coté de Saint Lary, et dimanche je vais du coté de Ax les Thermes pour taper les 2 versant de Pailhères et la montée de Ax 3 domaines. Voilà, si y'en a qui sont dispo vous êtes les bienvenus ! Cyril

Azet je ne connais pas du tout. Par contre le Pla d'Adet je le connais en voiture uniquement et c'est vrai que c'est un sacré morceau, pas trop long mais des rampes toutes droites à forts pourcentages !

J'ai refait les dénivelés effectivement ça rajoute une couche. J'arrive à 125 bornes et 3500 m de D+. Mais le jeu en vaut la chandelle le site semble être magnifique et le temps s'annonce plutôt chaud et ensoleillé.

Ah je connais bien ces cols maintenant pour les avoir fait plusieurs fois ^^. Ils sont magnifiques à coup sûr, et j'ai envie de nouveauté pour cette fin de saison montagnarde. Par contre pour cette itinéraire à part la Hourquette que j'ai fais une seule fois je ne connais pas ces 2 ascensions. La Hourquette j'ai envie de le refaire car c'est un col que j'ai vraiment beaucoup aimé la 1ère fois.

Bonjour à tous, je projette de faire le samedi 8/09 un parcours dans le coin de Saint Lary Soulan avec 3 cols. Mon itinéraire commencerait par le Lac de Cap de Long depuis Saint Lary Village, re descente pour attaquer la Hourquette d'Ancizan et finir par la montée du Pla d'Adet. J'ai tracé le profil sur Open runner, j'arrive à 115 bornes et 3000 m de D+ grosso modo. Qui serait disponible pour faire cette sortie, j'aimerais trouver des compagnons de route pour changer des sorties solo ? Cyril

Salut Jean Pierre, regarde du coté de la gamme Shimano Tiagra, tu as une cassette 10 v en 12x28, je l'ai monté sur mon groupe ultégra 6700. Ça marche au poil. A+ Cyril

Concrètement, - ça peut aussi bien être de rouler en comité plutôt que seul pour ceux qui peuvent ou qui veulent (cela va de soi), - Prendre un téléphone dans la poche pour avertir la gendarmerie (j'imagine que ceux qui roulent seul en possède toujours un dans la poche c'est mon cas à chaque sortie vélo), - Mettre un papier contenant les infos perso dans sa poche de maillot en cas d'accident grave ou de rencontre qui tourne mal (précaution à laquelle tu avais pensé ;), - Prévenir ses proches de l’itinéraire emprunté (dans les grandes lignes bien sûr, il s'agit pas de sortir un itinéraire avec carte IGN à l'appui), - Tenter de repérer les numéros du véhicule servant à la fuite, dans la mesure du possible bien sûr (si tu es KO avant d'avoir pu repérer quoi que ce soit évidemment ce conseil ne sert à rien), - Tenter de faire un signalement du ou des agresseurs (parenthèse idem que précédemment), - Éviter lorsque l'on croise un véhicule arrêté sur le bord de la route de passer trop près de lui (là encore dans la mesure du possible). J'attends les reproches, les remarques, de ceux pour qui la fatalité est le mot d'ordre avant de réagir !!! J'ai totalement conscience que mes 7 items ne sont pas exhaustives, qu'elles ne sont pas "l'assurance tout risque" (n'est-ce pas Jean Claude), m'enfin c'est du bon sens et je suis Michel que tu y avais pensé comme un grand sans moi. Le renard perd ses poils, mais jamais son vice.

De mon avis, plutôt que de s'offusquer du mot "maghrébin" ou peu importe d'ailleurs le mot, nous devrions plutôt nous inquiéter de ce qui est en train d'arriver, depuis quelques mois j'ai l'impression. Par pitié arrêtez de faire les vierges effarouchées, le problème n'est pas de savoir si c'est Mohamed, Jean-Marie ou Abraham qui a volé le vélo, mais plutôt de constater que ce phénomène semble prendre de l'ampleur. On peut toujours discuter pendant des heures de savoir si ce sont les blancs, les gris, les noirs ou les jaunes qui sont les plus voleurs et qui préfère quoi comme méthode pour voler. Bref c'est des débats interminables, inutiles et stériles à mon humble avis (chacun à son avis sur le sujet, mais là encore les conceptions de chacun sur autrui sont tellement différentes que le fond du sujet n'est pas là). Voyez plutôt le message de Jean Claude comme une mise en garde pour votre monture et aussi pour vous physiquement. Personellement j'ai dépensé un pognon fou pour m'équiper en novembre dernier, ce pognon il vient de mon travail, de mes économies et je n'ai pas envie que l'on me le vole (quel que soit l'origine ethnique du voleur), par conséquent je prends le message de Jean Claude comme un avertissement à redoubler de vigilance lorsque je suis sur la route afin de garantir ma sécurité et de garantir la pérennité de ma pratique sportive préférée. Je crois qu'il n'y pas à chercher d'autres choses dans les propos du post d'ouverture qu'une mise en garde encore une fois. Bien le bonsoir !

Non c'était pas ma copine ^^, elle m'attendait à Luchon, mais je l'ai appelé à Argelès et effectivement entendre le soutien des proches ça donne des ailes !!!

Pour ma 1ère participation à l'EDT, j'en ais chier comme tout le monde. J'ai particulièrement horreur du froid et de l'humidité. Les descentes de l'Aubisque et du Tourmalet ont été stressante avec la flotte et le froid, ma vitesse de pointe a été de 40 km/h dans ces 2 portions, mains gelées je me suis fait doublé par plein de gars. Je suis pas super bon descendeur en plus donc là pour le coup j'en ais bavé. Honnêtement il me tardait d'attaquer les montées pour me réchauffer, et j'ai franchement apprécier les 4 ascensions. Je connais le Tourmalet et l'Aspin, mais pas Aubisque et Peyressourde. J'ai trouvé ces 2 montées superbes et particulièrement l'Aubisque que j'ai bien aimé, Peyressourde aussi mais j'ai eu plus de mal avec les crampes sur les 2 dernières bornes. Comme pas mal de monde je pense, j'ai été pas loin d'abandonner 2 où 3 fois et surtout à Argelès Gazost. Mais j'ai appelé ma copine et entendre sa voix me rassurer, me remonter le moral, et limite m’engueuler de pas abandonner, ça c'est le meilleur des remontants. Y'avait une belle banderole dans l'Aspin et ben y'a pas de doute avoir le soutien des siens c'est bien ça le plus beau. Je me suis dit plusieurs fois aussi, que j'attendais tellement cette course, que je la prépare depuis tellement longtemps, 7 longs mois pour abandonner, non c'était pas possible de finir comme ça malgré les conditions. Finalement je la termine, au courage, lessivé par ces crampes et ce froid. C'est la 1ère fois que je fais 200 bornes et plus de 5000 m de D+. Je dois vraiment apprendre à descendre mieux dans le froid ou sur le sec, parce que c'est dommage de perdre plein de places en descente alors que je double beaucoup en montée. Ma foi je vois que je tiens le coup un parcours dur et que j'aime la grimpette. Je me classe 1630 ème en 9h50m53s et 788 ème en 4h08m38s sur le challenge des grimpeurs. Pour une 1ère je suis content, je reviendrai surement sur les prochaines, d'ailleurs j'en espère une dans les Alpes du sud car, c'est à domicile et il fait beau et chaud en principe ^^. Enfin mention spéciale à tous les bénévoles qui font un travail énorme et qui ont été là toute la journée pour nous soutenir et nous ravitailler, vraiment bravo.

Salut, bon étant Nissart un pur, un vrai mais hélas n'habitant plus dans la plus belle région du monde, je me permets tout de même de te donner quelques impressions. Pour ton premier tour vers la Madone et tout, fais gaffe aux bagnoles sur la moyenne corniche et pareil à Menton avant d'attaquer la Madone. C'est l'été et les touristes sont présents en masse et excités par la chaleur. Une fois que tu est sur la Madone c'est plutôt tranquille niveau circulation et encore plus une fois Saint Agnès passé quand tu vires à 180 ° sur la gauche. Profites des paysages que je trouve plus que somptueux surtout quand tu est sur le col d'Eze, arrêtes toi un petit moment quand tu montes ou que tu redescends pour admirer la vue plongeante sur la baie de Saint Jean Cap Ferrat, les photos sont grandioses (je trouve !). J'étais à Nissa au mois de Juin, ça faisait longtemps que je n'avais plus fait de vélo chez moi et j'ai été surpris par la chaleur, j'habite Toulouse et c'est pas tout à fait le même climat, donc ne pas oublier de boire régulièrement surtout au mois d'Août, mais ça c'est valable partout en été quand il fait chaud. Bon encore une fois, c'est la beauté des paysages que j'aime et toutes ces montées proches de la mer, où tu est certain de trouver du beau temps et de la chaleur une grande partie de l'année. Beaucoup de montées là-bas comportent pas mal de virage en épingle ce qui est fort appréciable quand on grimpe (le Turini en est le meilleur exemple). Tu as également le col de Braus (au départ de l'Escarène), court mais sympa à faire de bons petits pourcentages agrémentés de beaux virages en lacets sur une route lisse. Enfin je dirais que si tu peux pousser encore plus haut dans l'arrière Pais Nissart, va te faire plaisir sur la Bonette, la Lombarde, la Cayolle, la Moutière toussa quoi. Là c'est du col alpin typique, très longs, pourcentages parfois raides (Lombarde par exemple au début et à la fin j'ai relevé des passages à 13 %), l'altitude qui est grisante parce que monter si haut ça fait toujours plaisir en vélo et toujours ces paysages magnifiques (la Bonette est une tuerie visuelle). Régale toi bien à Nissa, et si jamais tu cherche un partenaire de route, j'ai moi aussi prévu de descendre 2 semaines à cette période là. Au plaisir ;)

Moi c'est mes sorties qui arrivent à partir de vendredi, je vais me tenter les cinglés du ventoux en prévision de l'EDT acte 2. Et puis vendredi après ça je file à Nissa, à la maioun au pais. Putain presque 1 an que j'étais pas rentré dans le Comté, ça me manquait trop loin de là-bas, même si le Sud-Ouest c'est sympa aussi. Pour fêter ça des grosses sorties en prévision : la bonette, la lombarde, la madone, le turini, le braus, le col d'eze beau programme quoi. Et pour me détendre y'aura la playa et le soleil ayaaa bon programme. Voilà chuis content de rentrer chez moi pour quelques jours quoi !!!

Salut à tous, voilà je fais un petit CR de mon expérience de ce matin, ceci va surtout me permettre d'évacuer une partie de ma frustration sur la course. Je m'étais engagé sur le grand parcours de 144 kms, en prévision de l’Étape du Tour acte 2, dans le but de d'accumuler les bornes et de prendre du coffre sur un parcours exigeant vu le profil. Les chaleurs de ces derniers jours étaient bien trompeuses, puisque c'est à un déluge auquel nous avons eu droit tout le long. Bon les prévisions météo ne laissaient guère de doute ces jours derniers sur un temps plutôt frais et des averses orageuses tout au long de la course. Ce matin, je pars de Toulouse direction Albi bien reposer près à en découdre sur ce grand parcours. Une fois arrivée sur place, quid de l'équipement, que mettre pour être bien sans avoir froid et éviter d'être trop mouiller ? J'opte pour un cuissard 3/4, un sous maillot thermique, un maillot simple et des manchettes, au niveau des pieds j'ai chaussé des couvres chaussure étanche pour avoir les pieds au sec. Résultat au bout de 20, 25 kilomètres j'étais trempé de partout même au pied, m'enfin disons que ça ne m'a pas vraiment rebuté, puisque j'étais prêt mentalement à en baver. J'ai attaqué ma course avec l'intention de faire une bonne performance vu mon niveau c'est à dire autour des 5h pluie ou pas peu m'importait. Le début de la course se passe pas trop mal, j'ai pas mal de monde devant moi, mais je reste prudent. Je ne suis pas vraiment habitué à rouler en peloton, alors sous la pluie ma foi je fais encore plus attention. Petit à petit les gros bras commencent à prendre de l'avance et moi je me retrouve balloté entre 3, 4 groupes. J'en vois 2 (des groupes) devant moi, je fais le forcing pour rentrer et pour grignoter. En ce début de course je me dis qu'une chose, ne te retrouve pas seul pour avaler les kms et te crever un bout de temps, surtout par ce temps. Bref, je réussis à rentrer sur le groupe le plus en avant à force de vague. A partir de là le temps passe, je m'alimente correctement, je bois régulièrement afin de ne pas me carboniser. Dans les descentes je suis franchement à la traine par rapport à pas mal d'autres, mais dans les montées j'arrive à trouver un bon coup de pédale pour remonter. Arriver à une bifurcation, la très grande majorité qui avait au départ choisie le parcours de 144 kms opte finalement pour le parcours de 107 kms. Je prends également ce parcours plus petit finalement, car j'ai vraiment très froid et après tout je vais pas choper la crève. Les kms se feront à un moment plus propice quand il refera beau. On arrive au pied d'une côte, quelques-uns sont devant à 20 30 secondes. Je décide de sortir de mon groupe à l'aventure juste pour me tester sur cette côte, pas très raide 4 ou 5 % mais assez longue tout 6 ou 7 kms il me semble. Je réussi à reprendre les 5 qui étaient devant vers la fin. A ce moment là je suis assez content de moi, car j'ai réussi à tenir un effort somme toute intense autour de 160 162 bpm autour des 23 km/h et entre 95 et 100 tours minute. Le test est concluant ça me suffit. Je ralentit un peu, histoire de me faire rattraper par le peloton avec qui j'étais et de rouler en groupe, d'autant qu'à ce moment là il m'aurait été impossible de finir seul ou en petit comité. Il restait environ 40 kms à ce moment là. S'en suis une succession de faux plats montants et descendants éprouvants quand ça descend puisque le froid gagne vite et quand ça monte parce que les jambes sont bloqués avec ce même froid. Je m'accroche à l'énergie, à mon groupe voyant la fin se rapprocher, je me sens somme toute pas si mal que ça. Et arrive ce maudit moment à environ 23 kms de l'arrivée, je sens que le rendement est moins bon malgré ma cadence de pédalage qui reste constante, je ralentis, je perds des places. Je comprends à ce moment là que je viens de crever ! Merde j'ai voulu faire le barbo, en ne prenant rien pour me dépaner (ni pompe, ni chambre). Y'a 3 semaines, j'ai fais la de Carvalho grand parcours de 150 bornes, sans crever. Un adage dit : demain est un autre jour. J'aurais du en faire mien pour aujourd'hui. Je crève rarement, mais aujourd'hui c'est tombé sur moi. Obligé de m'arrêter forcément mon groupe me lâche, je le vois partir en essayant de relever quelques plaques de cadre pour me faire une idée de mon classement final. 2 ou 3 minutes après, un concurrent sensible à mon appel s'arrête pour me dépanner. Il me donne une chambre que je monte non sans mal avec mes doigts engourdis et la pompe qui malheureusement ne gonfle pas la chambre. Je crois que j'ai tordu la valve, car un autre s'arrête pour me prêter sa pompe qui là encore ne gonfle pas ma chambre. Je tiens vraiment à les en remercier. Ils sont bien restés 10 ou 15 bonnes minutes avec moi faisant fi du classement. Je leur lance, allez-y les gars je vais faire de l'auto-stop. Heureusement 5 minutes plus tard une voiture passe, et des gens formidables me remorquent jusqu'à l'arrivée. Là encore un GRAND merci à eux. Je finis ma course (j'ai du mal avec abandonner ^^), frustré puisqu'il me semble que j'étais dans un bon groupe pour faire une place sympa et que j'avais une bonne forme malgré un temps guère convenable. La moralité maintenant pour moi, c'est que plus jamais je ne partirai faire un tour pareil sans prendre de quoi me dépanner. Je vais également me procurer une housse étanche pour mon phone qui a faillit finir noyé et pour mon garmin edge 500, qui m'a affiché un D+ et D- faux, là encore je pense à cause de la pluie.

Merci pour vos réponses, je compile un peu le tout. J'ai acheté ces gels la veille de ma sortie, par contre là où je pense avoir fait une erreur c'est que j'ai changé de marque, or je n'aurais sûrement pas dû, surtout pour une sortie en montagne, mais voilà la marque que je prends d'habitude n'était pas vendue dans le magasin où je me suis rendu. Sur le coup, au moment où je commence à avaler la première rasade de ce gel avec de l'eau, le goût ne me plait pas comme si un composant dedans avait du mal à passer, avec du recul je pense que j'ai fait une intolérance à quelque chose dedans. Surement une concentration trop élevé de composants à l'intérieur (les 2 gels que j'avais prit avant de la même marque ne m'ont rien fait de mal). Tout au long de la sortie je me suis alimenté très régulièrement, et j'ai bu beaucoup également vu la chaleur. J'en ais fais l’expérience dimanche dernier où j'ai fini les 20 dernières bornes d'une cyclo de 155 kms sans eau, et sans plus vouloir rien avaler. Résultat j'ai eu la gorge dessécher et un peu mal aux reins, et une grosse fringale avec évidemment plus d’essence dans le moteur pour appuyer sur les 5 derniers kms. Là j'avais mal gérer mon niveau de boisson et mon alimentation sur la fin (donc sur ça je sais ou j'ai merdé). Pour cette sortie montagne, j'avais bien mangé la veille une grosse ration de pâtes et le matin un petit déjeuner complet avec des céréales de bonne qualité et du jus d'orange. Et je m'étais prévu pour la fin de la sortie des sandwichs au jambon cuit pour la protéine car je sais que ne mangeant pas de salé sur les sorties vélo j'en ais besoin après. Je pense donc qu'il y a en effet un lien avec le manque de salé dans ma sortie, du coup je pense me préparer à partir de maintenant 1 ou 2 petit pain avec du jambon dedans à ingurgiter pendant la sortie. Et je ne reprendrais plus de gel à effet instantané que ce soit de cette marque ou d'une autre car je dois y faire une intolérance avec cette concentration extrême, par contre je garderais les autres à diffusion progressive car ça apporte un plus je trouve en complément des barres céréales notamment.

J'ys suis donc allé aujourd'hui comme prévu et le Tourmalet est bien ouvert jusqu'au sommet visiblement officiellement depuis aujourd'hui par la DDE car ce matin les panneaux indiquaient col fermé et cet aprem quand je suis monté les panneaux étaient au vert !

Salut à tous, voilà aujourd'hui j'ai escaladé l'Aspin, la Hourquette pour finir par le Tourmalet. Ma sortie s'est très bien passée jusqu'au moment ou j'ingurgite un gel à effet immédiat (je cite la marque et le modèle : c'est un gel overstim's red tonic). J'ai pris ça sur le Tourmalet à 5 kms de la Mongie et 1 bornes ou 2 après je dois m'arrêter pendant 20 bonnes minutes prit de nausées et je fini par vomir. Est-ce que ces nausées peuvent venir de ce gel en particulier, sachant qu'avant j'en avais prit 2 autres à diffusion prolongée pour les efforts d'endurance (de la même marque) + des barres céréales, j'ai bu très régulièrement et je me sentais bien jusqu'à ces nausées donc. Pouvez-vous me dire si un truc comme ça vous est déjà arrivé, si c'est dû au gel ou à autre chose (j'ai quand même l'impression que c'est le gel car son goût ne m'a pas vraiment plus). Merci pour vos conseils.

Salut Cédric, j'ai appelé cette aprem le CG 65 parce que justement je pars demain matin faire un tour dans le coin. Apparemment le sommet n'est pas encore déneigé on peut seulement monter jusqu'à Barèges et la Mongie, m'enfin rien n'empêche de pousser jusqu'à trouver un mur de neige devant soi. Perso demain mon tour ce sera départ de Campan, col d'Aspin, la Hourquette d'Ancizan et le Tourmalet jusqu'à trouver route fermée. Bon courage.

Bonjour à tous ! je compte faire une sortie le vendredi 4 mai là-bas, et j'aimerais savoir d'où je peux débuter ma sortie en fonction de l'enneigement des routes. Je penche soit pour Luz Saint sauveur, où Bagnères de Bigorre où le village de Saint Lary. Est-ce que les habitants du coin peuvent me renseigner sur l'ouverture des cols comme le Tourmalet par exemple. Comme il a beaucoup neigé dernièrement ais-je une petite chance de le trouver quand même ouvert jusqu'au sommet. Si vous avez des parcours à me suggérer, d'environ 100 km avec + ou - 3000 de D+ je suis preneur Merci bien.

Bonjour tout le monde, j'ai une question sur le edge 500 ! Est-ce qu'il est possible lors d'une sortie de pouvoir enregistrer des paramètres sur une montée spécifique, du genre quand on arrive au pied d'une côte ou d'un col d'appuyer sur un bouton pour enregistrer (temps de montée, cadence moyenne de pédalage, % moyen, longueur d’ascension etc...) Et autre question, comment on règle l'altitude de départ ? Se règle elle toute seule ou il faut enregistrer une altitude dans le marque point altitude ? Merci bien.