Thierry SERRA1639476568

Je partage ton avis concernant la question du coût. 45/60 € pour une.une simple association qui met de gros moyens c'est un prix à mon sens qui reste contenu. L'assistance, les ravitaillements (en dehors de la question de l'eau), la sécurité, les panneaux, les navettes de rapatriement sur tarascon, l'encadrement médical et j'en passe, tout était sur ce point de très haut niveau. Quant à savoir se gérer soi même, crois-moi tout les concurrents ont su y faire. Y compris par les bornes et fontaines disponibles. Pour ceux qui se sont.douches avec les.bouteilles d'eau je me suis déjà exprimé mais mais je le redis : il s'agit là pour moi d'un réflexe Inné compte tenu des circonstances. En conclusion je pense que l'ariegeoise est déjà objectivement suspendu aux conséquences de l'information judiciaire ouverte, notamment pour savoir si le décès est dû ou pas au maintien de la course. Enfin qui peut croire qu'une éventuelle édition 2020 puisse se dérouler sans que l'organisation en ait tiré les conséquences ? Ça me paraît logique.

Merci pour ta réponse qui m'a éclairé. Personne n'est ici pour nier tes grandes compétences. En effet je te connais pas. Mais toi tu ne connais ni moi ni la plupart des autres. Par voie de conséquence si tu souhaites la reconnaissance de tes compétences (ce que j'ai déjà fait) commence déjà par ne pas incriminer le commun des mortels à la première contradiction venue. L'esprit critique, n'est jusquà preuve du contraire pas un défaut ; dire amen à tout n'est pas une solution. Si tu m'avais lu tu te serais aussi aperçu que ma critique se concentre sur l'eau et uniquement cela puisque j'ai loue les bénévoles (j'en ai fait), les panneaux et l'encadrement (évacuation depuis Massat, présence des personnes sur le terrain, ravitaillemenos solides etc). J'estime qu'on peut encore avoir un jugement équilibré en pointant ce qui va être ce qui ne va pas. Quant à ma brève réponse elle ne se voulait pas une offense à tes grandes compétences mais un pur raisonnement intellectuel logique. Critiquer les critiqueurs sans s'apercevoir que tu critiquait (c'est à dire tombait.dans la catégorie que tu pourfendait la catégorie dans laquelle tu te plaçait) ne manquait pas de sel. Il ne fallait rien trouvé voir d'autre en évoquant inutilement l'état de tes.tes . chevilles

Ceci dit tu viens de critiquer, ce qui est tout aussi facile. J'en conclue donc que tu n'a pas du beaucoup donner ! Logique !

Je trouves la critique sur l'assistanat completément à côté de la plaque. J'ai été assiste en étant rapatrié à Tarascon par bus. Est ce que pour autant je suis une mauvaise personne qui devrait s'en repentir ? Est-ce que regretter l'absence de l'eau fait d'une personne un assisté ? Cette critique est hors des clous et sonne comme un gimmik ou un psaume assène par un moraliste ! Est-ce que quand la benévole du col de Peguere m'a signifie l'absence d'eau pour rédiger vers Massat, je lui ai manque de respect en parant direct sans dire un mot ? Je trouves Que LES DONNEURS De LECON Sont Trop RAPIDES DAns Leur SENTENCE Et CONFONDENT Tout. J'ai Pu D'AILLEURS noter l'excellence du pannotage et la haute qualité de l'encadrement. Compte tenu de la panique à bord j'ai trouvé la réactivité des bénevoles et de l'organisation remarquable. Il n'en reste pas moins vrai que la carence en eau était flagrante. Que certains se soient douchés avec le stock de bouteilles n'a rien d'illogique et incivique ; c'est un réflexe naturel que chaque personne censée peut comprendre. D'ailleurs qui peut encore parler d'assistanat quand tant de cyclos se sont abreuvés et douches aux bornes vertes, avec l'eau degoulinante des rochers voire aux bistrots. ? Chacun a géré comme il a pu en fonction des moyens du moment. La morale n'a rien à faire la dedans.

Il ne s'agit pas de tout régenter. Mais les ravitaillements étaient remplis par des montagnes de carcasses de bouteilles d'eau vides. Le premier ravitaillement, au col de Peguere, faisait partie de la liste. Ce col à été atteint vers là fin de matinée pour les derniers à l'issue d'une ascension plutôt à l'ombre. Malgré ces conditions relativement avantageuses (par rapport au port de Lers la différence était flagrante), plus une goutte d'eau quand je suis passé ; et pourtant j'étais loin d'être le dernier. La bénévole, avec là plus grande gentillesse, m'a recommandé de rallier Massat ou j'étais censé trouver de l'eau. Je précise que les cimetières de bouteilles.étaient des.des deux côtés du col. A Massat donc point d'eau de l'organisation. J'ai du mon salut qu'à une borne verte de la ville. Ce que je veux dire très clairement, c'est qu'il ne s'agit pas d'être as site et pris en charge, mais simplement de trouver ce qu'il y a de plus fondamental dans la vie : l'eau. J'étais d'autant plus déçu que j'ai lu après coup là communiqué de la préfecture qui recommandait le renforcement des ravitaillements en eau ; ce qui est fut manifestement pas le cas. En revanche il faut louer l'excellente du panneautage, et la qualité de l'encadrement humain : signaleurs ; motards ; secours médicaux. Tout le monde était parfait sur ce point. Leur dévouement à Massat pour organiser le rapatriement était admirable. Merci à eux. Mais peut être trouveras-tu, qu'avec les autres concurrents sur place, j'ai été scandaleusement pris en charge. C'est vrai j'aurais dû prendre le risque, que j'avais senti très présent, de subir le même sort que le malheureux concurrent décédé. Être sur certains points assisté c'est normal dans une cyclo. Sinon autant randonner librement en partant à l'aventure.

Merci Serge pour ton témoignage. Il m'éclaire utilement sur cette journée que j'ai vécu comme toi. J'avais choisi de faire demi tour sur Massat une fois l'annonce de l'arrêt de la course. ....Après la 1ere navette qui m'a ramene à Tarascon par le col de Port j'ai récupéré ma voiture avant de monter à Auzat pour le repas. J'ai pu donc apprécier l'aéroport de Niamey que je connaissais pas ....lol

Merci Jean pour cette information. En effet si on lit bien la conclusion de cet article on comprend que l'existence même de l'Ariegeoise est menacée. Mais compte tenu des circonstances. dramatiques et des carences flagrantes en eau (malgré les consign'es de la préfecture en matière de renforcement sur ce point), qui pouvait sérieusement penser que la question de la survie de l'épreuve ne se pose pas ? Une information judiciaire à été ouverte. De la l'ariegeoise peut en survivre .....ou pas !

L'orgueil du champion n'est pas un défaut. La réaction d'orgueil peut parfois avoir de la gueule ;de la prestance. Ça peut être la marque d'un grand caractere. Donc le terme " toujours un défaut " est pour moi abusif.

Ton texte est toutilisé simplement admirable. Tu nous fait de tes réflexions de façon très argumenté et sur la base de toute ton expérience. Je n'aurais qu'un petit bémol concernant l'orgueil. On parle souvent d'orgueil parce qu'on l'estime souvent mal placé. C'est parfois vrai. Mais il arrive que l'orgueil soit au contraire très bien placé. Pour moi c'est parfois l'amour propre sous une forme. Ça peut donc être dans certains cas une qualité. Son seul souci c'est de le placer à bon escient, ce qui n'est pas toujours chose aisée. Mais je me repéte, chapeau pour ton texte très instructif.

Je viens de lire l'interview du président de l'ariegeoise sur le site de France info. Il explique notamment pourquoi l'épreuve n'a pas été tout simplement annulée intégralement. Il estime que si tel avait été le cas 3000 cyclistes environ auraient de toute façon pris la décision dest partir en randonnée libre avec le très fort risque d'un bilan plus lourd faute d'encadrement. Ce dernier a justement permis de limiter les dégâts de par l'assistance tout le long des parcours

Je ne sais pas si hier ma conscience m'a sauvé la vie ; ce qui suppose qu'en vas de poursuite de l'effort j'aurais trépasser. Mais elle m'a évite de prendre un risque qu'à moment donné j'ai évalué comme excessif. Mais toute évaluation et analyse, effectuée en conscience peut être prise en défaut. Après tout l'erreur de jugement est humaine.

A partir de quand on fait le gros bras ? Le jour où une pluie froide s'abat est-ce que le cyclô est un vilain inconscient s'il prend le départ ? Je trouves trop facile de s'en prendre à la conscience des cyclos. La chaleur, le froid, la gréle, le vent, le brouillard. Il y a toujours des circonstances climatiques qui font qu'au delà d'un certain seuil le cycliste se verra commodément taxe d'inconscient. Je rappelle quand même que l'essence même du sport c'est le dépassement de soi. Qui se sent le courage de décreter moralement pour les autres quels sont les seuils de ma conscience ? Je suis arrivé quelques kms derrière le décede en ayant remplil mes bidons à une borne communale à Massat ; en ayant ralenti le rythme par la suite et en ayant assouplir régulièrement mon braquet ; en m'étant même préparé à des arrêts aussi longs et nombreux que nécessaire. Malgré tout j'ai fait demi tour : plus de motivation ; course arrêtée (dans la commune fusion certes) ; risque de rupture d'eau. ...Est ce que les rares qui ont persiste en gérant et ceux qui sont rentrés à tarascon par leurs propres moyens (en passant par le col de Port) méritent d'être traites d'inconscients ? Il faut avoir été sur le terrain pour comprendre

Il y a 3 responsabilités possibles, qui peuvent très bien se.cumuler. D'abord celle des.concurrents que personne ne contraint par la force à rouler. Celle des organisateurs qui maintiennent l'épreuve sans y mettre les moyens (les stocks d'eau nécessaires) alors que les parcours xxl ont été supprimés à cause de la canicule ; une sorte de demi-décision. En fait celle de l'état dans la mesure où la préfette n'a pris aucun arrêt interdisant les manifestations dans sa département. Pour mémoire son homologue du Vaucluse avait pris cet arrêté. Puisqu'une information judiciaire est ouverte pour etablir les responsabilités faisons confiance à la procédure. De là découlera je présume l'existence de l'épreuve en 2020.

En tout cas je te confirme avoir vu de mes yeux vu des cohortes de piétons à l'agonie. AllongésSur les bas-côtés ; poussant leur vélo à très lente allure ; à la recherche d'eau. Ce qui m'a le plus surpris c'est que j'ai pu observer dès les premiers kms du premier col. Portant nomination le col de Peguere était gravi le matin sur une route plutôt à l'ombre. Imagines donc la descente de ce col hyper accidentogene, puis à Massat et dans les.premières kms du port de Lers. L'ariegeoise ressemblait plutôt à un champ de bataille ou des pertes énormes pouvaient être enregistrées qu'à une cyclo. Dans la masse j'ai pu voir des concurrents dont pour certains j'étais pas sûr qu'ils étaient faits pour faire face à la chaleur Mais vu la quantité et malaises et défaillances, même être aguerri ne suffisait pas. Je note néanmoins une carence de l'organisation. A partir du moment où ce dernier prends la responsabilité de maintenir des parcours il doit mettre les moyens en face. Il y avait quelques dizaines de concurrents derrière moi au sommet de Peguere. Et je n'ai vu qu'un montagne de bouteilles vides ....La bénévole (qui n'y est pour rien ...Sans doute m'aurait elle donner de l'eau si elle pouvait) ma clairement indiquer : descendez à Massat vous trouverais de l'eau. Or en bas il n'y avait pas d'eau de l'organisation. Comme.beaucoup je n'ai du mon salut qu'à une borne verte de karité commune. Les témoignages que j'ai recueilli sur le grand parcours étaient identiques. J'ai aussi compris qu'un point d'eau existait à 1 km du sommet de Lers. ......Sans eau la aussi. La responsabilité individuelle existe. Si j'ai décidé d'entamer la montée aussi prudemment que possible (bisons pleins ; braquets et allures 1 voire 2 ton en dessous mes possibilité ; arrêts multiples envisagés ; voire abandon immédiat en cas de nécessité) c'est sous ma responsabilité. Mais l"organisateur a lui aussi failli en ne gérant le problème de l'eau. Mais que dans la masse des cyclistes aient surpasse leurs capacités sans avoir assez conscience du danger c'est certain. Sans doute le défi sur soi à prévalu chez certains. Mais à mes yeux le défi sur soi doit être tempéré par, si j'ose dire, un oeil sur le rétro. Je veux dire par là utiliser sa tête pour correctement analyser la situation. A 5 kms de l'étang de Lers je pouvais finir finir en douceur et basculer sur Auzat. ....ou faire demi tour à Massat et m'insérer dans le système de navettes ? Eu égard au fait que le sommet de Lers est hyper exposé au soleil et que jetait pas sur de trouver de l'eau vers le sommet omet j'ai préféré faire demi tour et me mettre à l'abri. Treste journée pour tout le monde. Encore un point. Une enquête judiciaire à été ouvert pour savoir si le fait de ne pas avoir complément annuler la course des le départ à jouer ou pas un rôle dans le décès. Cette histoire pourrait faire jurisprudence dans le monde du cyclosportives.

Le procureur de la République a constaté que le cycliste décédé était un pratiquant aguerri ayant déjà fait l'ariegeoise à plusieurs reprises. Il a aussi constate qu'il était suivi par son médecin et ne présentait aucune pathologie suspecte. Une seule conclusion : ce drame peut arriver à tout le monde. Comment dès lors oser sans discernement s'en prendre à la responsabilité des concurrents. Je rappelle que depuis plusieurs années l'ariegeoise à montrer une carence en matière de ravitaillement en eau. Je suis passé au col de Peguere ou le stock d'eau était épuisé. Vous oubliez messieurs qu'en droit la responsabilité d'une personne n'exclue pas forcément la responsabilité d'une autre. En l'espèce la responsabilité de l'organisateur, du préfet et des concurrents peut très bien être engagé conjointement. S'acharner, par pure facilité, sur les concurrents ne vaut guere mieux qu'accabler les seuls organisateurs. La carence en eau n'est pas de la responsabilité des concurrents que je saches ! Je trouves que votre june mention, s'il contient au départ un élément pertinent, perd de sa force par sa diatribe stérile anti-concurrent.

C'est ce que je pensais. Mais cette situation est inhabituelle. J'espère qu'on en saura plus avant le 14 juillet ????????????

Bonjour à tous. Fin 2018 j'avais mis cette épreuve à mon programme 2019. Ne voyant venir j'ai interrogé l'organisateur. Il m'a répondu que les parcours étaient en cours de validation et qu'après une importante réunion à la préfecture ils seraient communiqués début mars. Puis un message est venu confirmer cette position d'attente. Il y a une dizaine j'ai ré-interrogé l'organisateur ; toujours pas de réponse. Pourtant cela fait plusieurs semaines que les inscriptions sont ouvertes. Je n'ignore pas les difficultés des organimateurs. Mais ouvrir les inscriptions sans publié les parcours et sans fournir une explication valable, voilà une situation qui risque de me détourner de cette épreuve. Est-ce que certains d'entre-vous ont des informations à ce sujet ?

Je ne vois pas le rapport entre les bénévoles et le port obligatoire. Je ne vois pas ou est la morale du propos ! La plupart des cyclos n'ont pas cette obligation. Certaines n'ont pas de maillot (ex : la Lozérienne ou Gaillarde de Carvalho) ; certaines ont un maillot acquérable en boutique comme un souvenir (les bosses de Provence ou la Provençale Ste Victoire ; d'autres ont un maillot avec l'inscription dont le port n'est pas obligatoire (ex : l'Ariégeoise, la Pyrénéenne) Est-ce que ces épreuves n'ont pas de bénévoles dont le rôle est tout aussi essentiel et admirable qu'à LA RISOUL los ? A l'évidence le respect des bénévoles et du travail des organisateurs n'a rien à voir avec le maillot. J'ai déjà fait du bénévolat. C'était sur la Marmotte. C'était un weekend très lourd. Non décidement, je ne vois pas en quoi les difficultés des organisateurs et le respect des bénévoles induirait pour faire amande honorable d'accepter l'obligation du port du maillot. Le phénomène est mineur. Il faut espérer que cela demeure. Les cyclosportifs payent pour participer tout en respectant un réglement pour ce qui concerne les obligations nomales (les horaires, l'itinéraire, etc......). Il n'y a aucune raison pour ce phénomène se développe. Si la grande majorité des organisateurs en venaient à cette obligation c'est qu'il s'agit tout simplement d'un problème économique. Les cyclos n'y peuvent rien si les temps sont durs.

La plupart des cyclos ne comportent pas cette obligation. Pourtant il y aussi des organisateurs qui se mettent en 4 pour nous régaler avec l'appui de tout les bénévoles. Un organisateur peut très bien prospérer sans l'obligation en cause. Ainsi Sport Communication, LVO, mais aussi des organisateurs plus modestes, en sont de nombreux exemples

Tu as raison de rappeler la question du règlement. Mais néanmoins cette obligation demeure illégale. En droit tu peux très bien accepter des conditions générales de vente, puis par la suite t'opposer à l'application d'une clause manifestement abusive. Juridiquement ce n'est pas parce que tu as accepté les conditions générales que la clause abusive devient légale. Mon employeur peut m'obliger à porter ses couleurs, son logo et son nom inscrit sur ma tenue, et ce pour une raison simple : j'ai un lien de subordination à lui auquel j'ai librement souscrit. Quand tu acceptes un règlement, c'est parce que tu n'a pas le choix si tu veux prendre le départ. Ca rend pas légal l'obligation de port du maillot. Je fais le pari que si par un scenario quelconque la question arrivait devant un tribunal, l'obligation tomberait facilement. A l'invers l'obligation de respecter le code de la route, ou bien de ne pas jeter ses déchets repose sur la loi : les règles régissant la circulation des véhicules, et celles interdisant le jet de déchets sur la voie publique.. Quant à la RISOUL je n'hésiterais pas à aller en parler à l'organisateur. Cette épreuve a pour elle d'avoir un superbe maillot : adorable avec sa pomme ! A un point telle qu'aujourd'hui j'ai porté avec joie celui de l'édition 2017..

A bien y réfléchir, cette obligation de porter le maillot de l'épreuve est à mes yeux tout simplement illégal. Que BARDET soit contraint de porter la tenue AG2R parce qu'il a signé un contrat avec ce sponsor, c'est normal. Mais quand on est dans une cyclo, sans qu'il y ait de lien juridique, on peut néanmoins vouloir mettre à l'honneur le sponsor qui aide le club à vivre. Et que dire de ceux qui n'ont pas de club ? Pourquoi faudrait-il les obliger à porter le maillot de la cyclo ? En droit français rien ne peut obliger à porter ce maillot. Cette obligation je repose sur rien ! Absolument rien ! Je ne suis pas payé pour que quiconque m'oblige à porter un maillot. Les obligations des sponsors dans le domaine des cyclos c'est pour ceux qui y croient. Je note que certaines épreuves n'ont pas de maillot. Un exemple , la Lozerienne....On fait comment dans ce cas ? Autre exemple : LA CORIMA.....Il y a un maillot mais pas d'obligation.....Si un jour je refuse de me plier à cette obligation absurde et qu'un organisateur veut me contraindre, il aura ma réponse : 1 - Payez-moi si vous voulez que je respecte cette obligation....2 - Je prends le départ de la course ; qu'il ne m'arrive rien si l'organisateur ne veut pas avoir des soucis. Si la cyclo doit disparaitre je ne vois pas pourquoi j'en serais tenu responsable.

Bonjour Rachele. Je suis intéressé par la TIME 2019. Je pense m'inscrire sur la mediofondo. J'ai bien étudié les parcours et j'ai noté une discordance. Sur l'animation en 3D l'itinéraire passe par le col de Plan-Bois depuis Thônes avant de partir directement sur les Aravis. Chose ettonante selon moi car il n'y a pas de route directe alors qu'après Plan-bois la route descend sur Manigod avant de partir sur les Aravvis via la Croix-Fry..... Sur le parcours openrunner l'itinéraire part directement de Thônes vers Manigod et au-delà par la Croix-Fry juqu'aux Aravis. J'ai interrogé l'organisateur qui ne m'a pas répondu à ce jour. As-vu ce problème ? Qu'est-ce que tu en penses ? As-tu des infos fiables ? Bonne journée. Et si je n'ai pas le plaisir de te lire prochainement, bonne année à toi .....Et à tout les lecteurs de Vélo 101.

Bonjour à tous. J'ai mis ces 2 épreuves à mon programme 2019. A l'heure ou l'ensemble des organisateurs communiquent sur leurs dates, leurs parcours et permettent même de s'inscrire pour beaucoup. Or deux épreuves semblent faire de la résistance. La Pyrénéenne avait annoncé le dévoilement de son parcours à la fin de l'année. Or tel l'homme voulant inverser la courbe du chômage avant le 31 décembre,je ne vois rien venir. La Risoul. Belle épreuve qui semblait enfin permettre en 2019 la montée de la station par la route principale après le passage à l'izoard versant sud. J'ignores la véracité de ces infos, mais là aussi, il n'y aussi à ce jour aucune avancée. Pire, le site dédié semble même avoir disparu.... C'est à se demander si ces deux épreuves, l'alpestre notamment, existeront en 2019. Y a t'il malgré tout des infos fiables, disponibles à ce jour ?