Un grand merci à tous les bénévoles qui ont oeuvré avec sourire, avec générosité et surtout avec l'efficacité liée aux moyens mis à leur disposition. Sans leur engagement, sans leur temps consacré à la cause cycliste, aucune cyclo ne pourrait avoir lieu. Bravo à eux ! Un autre satesfecit à l'organisation pour avoir changé de parcours. D'une difficulté plus élevée que le précédent, le tracé emprunté nous a fait découvrir de superbes paysages, de nouveaux obstacles, de nouvelles sensations. Bravo pour cette initiative Quant à la prestation de SPORT COMMUNICATION, société professionnelle, elle est digne d'un niveau d'amateurisme débutant. Pour exemples : Aucune information ni sur le nombre d'inscrits, ni sur le nombre d'abandons. Combien étions-nous au départ par course ? Certains supports annoncent 1200 abandons ... Aucune information sur le départ différé entre la course sénior et master. On préfère faire patienter dans l'ignorance des milliers de coureurs ... alors qu'il eut été plus simple de mentionner les deux horaires sur le site de Sport Communication. Aucune information sur l'attribution des dossards. Les numéros de dossards ne sont manifestemment pas attribués dans l'ordre d'inscription. D'où aucun intérêt à s'inscrire trois mois à l'avance si ce n'est que de générer de la trésorerie pour la comptabilité de Sport Communication. Aucune compréhension à l'écoute de la sono, ne serait-ce que sur les 50 premiers mètres du stade. Un manque cruel de toilettes, de blocs sanitaires, d'hygiène au stade. La pelouse de foot remercie les généreux donateurs pour l'arrosage ! Aucune cohérence entre l'emplacement annoncé des ravitos et la réalité du terrain. Pour exemple, le site de Sport Communication annonçait un ravito au Grand Ballon alors qu'en réalité, il se trouvait au Markstein, soit 9 km plus loin. Le ravito annoncé à Servance était perché à Leulotte, soit 8 km plus loin ! Encore eut-il fallu lire le road book .. certes ... mais quand on se dit profesionnel d'organisations évenementielles, on se doit d'effectuer les mises à jour sur l'ensemble des supports de communication ! L'absence de contrôles sur le circuit motive les contrevenants à accompagner les coureurs avec des voitures suiveuses. Il aurait suffit à Sport Communication de positionner un membre de l'organisation à Mielin pour empècher la montée de Chevrères par les voitures suiveuses. Cette mesure incitative aurait trouvé les faveurs de l'immense majorité des coureurs. Question d'équité et de sécurité ! Absence de justesse dans la restitution du résultat. Arrivé dans un groupetto d'une vingtaine de coureurs, j'ai découvers, via le classement, qu'une féminine me précédait et qu'une autre me suivait. Fatigué je l'étais certes, mais la présence de féminine dans mon groupe ne serait pas passée inaperçue ! De plus, le classement annonce des écarts de 12 secondes moyens entre coureurs, alors que le groupetto a franchi la ligne d'arrivée en quelques secondes ! Quelle est l'utilité de la puce ? Absence d'acte responsable de Sport communication sur la ligne d'arrivée (en descente). Comment peut-on déposer un tapis contrôlel puces sur un tapis de gravillons. Autant, on ne peux valider les observations de certains coureurs décriant la présence de graviers sur la route, espace public. Autant, il est difficilement acceptable d'ignorer la présence de gravier sur une ligne d'arrivée, de surcroît avec un tampon de coureurs en aval de celle-ci. Des chutes valident cette observation élémentaire. La capitalisation d'expériences de Sport Communication aurait pu éviter tous ces manquements. A croire que seul le bénéfice comptable l'emporte sur le plaisir à réunir autant de passionnés de sport à partager des efforts sains en présence de sportifs venant d'horizons différents ... Bien des clubs ou associations bénévoles présentent des prestations nettement supérieures à celles proposées par Sport Communication. Les exemples ne manquent pas. Sans parler des cyclos organisées en Autriche, en Italie, en Suisse ... (tapis en début et fin de cols, routes privatisées, ravitaillements irréprochables, efficacité des secours en tous points de la course, supports de communication en plusieurs langues ...) Mais bon, tant que nos amis belges, hollandais ou luxembourgeois se précipiteront sur ce genre d'organisation, ce ne sont pas les 17% français franchissant l'arrivée de la 218 km qui motiveront Sport Communication à améliorer sa prestation. Ce n'est guère une question de coût, mais tout simplement de volonté !