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Claude GONZALES

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Tout ce qui a été posté par Claude GONZALES

  1. SOUVENIR..................bonne lecture a tous............ Et pourtant, cette année là, le 15 de France était en pîteux état, matchs déplorable et tournois des 5 nations catastrophique, défaites, sur défaites et une demi finale en sursaut.... Lisez et souriez............ France-Nouvelle-Zélande 1999 : dans les coulisses du "plus grand match" de l'histoire de la Coupe du monde du rugby Vous avez forcément des souvenirs brumeux de cette demi-finale extraordinaire. Mais connaissez-vous les coulisses de cette rencontre ? L\'ailier français Philippe Bernard-Salles célèbre son essai en demi-finale du Mondial de rugby face à la Nouvelle-Zélande, le 31 octobre 1999 à Twickenham. L'ailier français Philippe Bernard-Salles célèbre son essai en demi-finale du Mondial de rugby face à la Nouvelle-Zélande, le 31 octobre 1999 à Twickenham. C'est l'histoire du plus grand exploit du rugby français. C'est aussi le plus beau match de l'histoire de la Coupe du monde, certains diront même de l'histoire du rugby tout court. Le 31 octobre 1999, dans un stade de Twickenham plein à craquer d'Anglais qui ont pris fait et cause pour l'outsider tricolore, l'histoire bafouille. Toute ressemblance avec la situation des Bleus de Philippe Saint-André, qui défient les Néo-Zélandais, samedi 17 octobre, en quarts de finale du Mondial de rugby, ne serait pas purement fortuite. Raison de plus pour revivre ce match incroyable. En 1999, la France, c'était (presque) la Roumanie C'est peu dire que la qualification de la France en demi-finale du Mondial 1999 est inespérée. Le Tournoi des cinq nations s'est révélé catastrophique, la tournée estivale en Nouvelle-Zélande calamiteuse et le premier tour terriblement laborieux. Les Bleus n'ont obtenu leur qualification en quarts de finale que grâce à un essai litigieux face aux Fidji. Pour la force collective, on repassera. "Les joueurs ne s'entendaient pas spécialement bien", acquiesce l'adjoint du sélectionneur Pierre Villepreux, dans L'Equipe. Le capitaine Raphaël Ibanez pose le débat en ces termes : "Je ne voudrais vraiment pas que la France devienne la Roumanie du rugby international." En face, les All Blacks. Meilleure nation du monde, comme d'habitude. Favorite du tournoi, comme d'habitude. Mais un peu moins discrète qu'à l'accoutumée. L'avion d'Air New Zealand qui transporte les joueurs est décoré d'un immense dessin de la première ligne néo-zélandaise. Adidas, devenu équipementier de l'équipe, a placardé des affiches dans toute l'Europe pour vanter ses champions. Les bookmakers cotent la France à 20/1, et proposent plutôt de miser sur l'ampleur de la fessée que prendront les Tricolores. Quarante points d'écart ou plus ? La veille, le sélectionneur australien, Rod McQueen, a expliqué qu'il était "certain" de retrouver les All Blacks en finale. Fou rire dans le vestiaire tricolore L'affiche n'est pas très excitante, sur le papier. Même l'arbitre de la rencontre, l'Ecossais Jim Fleming, n'est pas spécialement heureux. "J'étais déçu d'avoir été désigné pour ce match, peste-t-il dans le Herald of Scotland. Ma dernière chance d'arbitrer une finale de Coupe du monde s'était évaporée." L'ambiance est détendue dans le camp français. Dans le vestiaire, Emile Ntamack et Fabien Galthié sont pris d'un fou rire inextinguible. "Nous étions tranquilles", se souvient "Milou" Ntamack sur Rugbyrama. "Si tu n'as pas le sourire au moment de rencontrer les All Blacks en demi-finale de la Coupe du monde, quand trouveras-tu ton plaisir dans ce jeu ?" s'enthousiasme Jean-Claude Skrela, le sélectionneur, cité par Libération. Au moment de pénétrer sur la pelouse, Fabien Galthié hurle : "On est des champions !" Les joueurs ont passé la semaine à s'en convaincre. Le haka – un Ka-Mate assez dépassionné, le Kapa-O-Pango, plus guerrier, n'ayant pas encore été écrit – ne galvanise pas plus que ça les All Blacks. Le sélectionneur, John Hart, ne croit pas trop à la puissance du rituel maori, de toute façon. "Je me crispais quand les joueurs ne chantaient pas tous l'hymne national, regrette-t-il dans le livre Legends in Black. J'ai essayé d'y remédier, mais je ne pouvais pas les forcer. Beaucoup trouvaient que le moment d'expression, c'était le haka." Des dreadlocks en moins et un scrotum en vrac Dès l'entame du match, les Français choisissent d'attaquer les Blacks sur le physique. Ils se mettent à plusieurs pour stopper Jonah Lomu, l'ailier néo-zélandais, 1,95 m pour 100 kg, quitte à se faire traîner accroché à son short. Lomu, avec sa coiffure en forme d'aileron de requin, perce deux fois la défense tricolore en première période. Le surpuissant ailier des Blacks n'est pas le seul à bénéficier d'un traitement de faveur des Bleus. Le troisième ligne Josh Kronfeld est victime d'une fourchette à l'œil droit par un avant français… et, dix minutes plus tard, il subit le même traitement à l'œil gauche. Il verra flou pendant toute la rencontre, note le New Zealand Herald. Un autre joueur est touché au scrotum – une habitude lors des France-Nouvelle-Zélande. "C'était un match physique, brutal, mais en 1999, le rugby était brutal", juge le médecin des Blacks dans L'Equipe. "Dans les meilleures équipes françaises, l'artiste côtoie le boucher", a dit un jour l'ouvreur Franck Mesnel, finaliste du Mondial 1987 contre la Nouvelle-Zélande. Les Bleus font surtout parler le côté équarisseur en première période. Le centre Richard Dourthe est déchaîné : il fracasse à deux reprises le jeune demi de mêlée des Blacks Byron Kelleher, et va au combat face à la montagne de muscles Tana Umaga… au point de lui arracher ses dreadlocks et de les ramener, telles un trophée, dans le camp français. "Regarde ce que j'ai dans les mains !" s'écrie-t-il, comme un enfant fier de sa bêtise, à Titou Lamaison. Les Français concèdent une kyrielle de pénalités (treize !), une sale habitude. Jean-Claude Skrela disait toujours que son équipe démarrait les matchs à 0-9 à cause de son indiscipline. "Si les cartons jaunes avaient été en usage, deux Français, au moins, auraient passé dix minutes sur la touche, se souvient l'arbitre du match, Jim Fleming, qui fait passer le message à Raphaël Ibanez, dans le couloir qui mène aux vestiaires. Les Bleus sont menés 17-10 à la pause, et c'est bien payé. "Vous ne sentez pas le doute dans leur regard ?" Fabien Pelous se souvient de n'avoir jamais douté de la victoire. C'est aussi le message tenu par Marc Lièvremont dans le vestiaire de Twickenham : "Les gars, vous ne voyez pas qu'ils commencent à gamberger dès qu'on leur fait mal ? retranscrit-il dans son livre Cadrages et débordements. Dès qu'on se met à jouer, on les pousse à la faute ! Vous ne sentez pas le doute dans leur regard ? Ça ne se passe pas comme prévu pour eux. On tient le bon bout les gars ! Faut insister, ça va passer." Aussi incroyable que cela puisse paraître, l'analyse très optimiste du troisième ligne des Bleus est partagée par le coach adverse. Jim Hart donne pour consigne à ses joueurs de fermer le jeu à double tour. "Mais ils en ont décidé autrement", soupire l'entraîneur. Le début de la seconde période donne raison aux Kiwis. Jonah Lomu inscrit un nouvel essai, portant le score à 24-10. C'est à cet instant précis que la machine se dérègle. "Ce qui s'est passé en seconde période – en y repensant des années plus tard – semble inexplicable, écrit Jonah Lomu dans son autobiographie. C'était irréel. Les Français ont tout simplement pris feu. Que dire des essais qu'ils ont marqués ? Que dire des rebonds heureux et des changements de jeu ? La balle leur appartenait. A chaque fois qu'ils marquaient une pénalité ou un essai, nous nous disions que nous n'avions qu'à reprendre le contrôle de la partie. C'était trop tard." "On continuait à s'enfoncer dans la ***" La panique se lit sur le visage des Néo-Zélandais, à mesure que Christophe Dominici, l'ailier aux cheveux péroxydés, Richard Dourthe, le scalpeur d'Umaga, et Philippe Bernat-Salles, le poids plume de 75 kg chargé de contenir Lomu, inscrivent trois essais splendides. "Mon meilleur souvenir de ce match, c'est quand les Néo-Zélandais ont commencé à marcher, tête basse", jubile le troisième ligne Olivier Magne, dans le Guardian. L'envoyé spécial d'ESPN se souvient que les journalistes néo-zélandais avaient l'air d'avoir été "tous foudroyés en même temps". Les joueurs ne sont guère en meilleur état. "Après chaque essai, on se regroupait et on se disait : 'on s'en tient à notre plan', raconte Josh Kronfeld. Mais on continuait à s'enfoncer dans la ***." Trente-trois points encaissés en une demi-heure, soit autant que… pendant toute la durée de la Coupe du monde, un essai des All Blacks pour sauver l'honneur, et les Français s'invitent en finale sur le score de 43-31. On a même entendu une Marseillaise reprise en chœur par le public anglais en seconde période. "En deuxième mi-temps, ils criaient 'Allez les Bleus !', et quand tout a été fini, ils m’ont timidement demandé : 'Mangerez-vous désormais du bœuf anglais ?'" raconte une supportrice tricolore dans Le Monde. Vous avez dit match de légende ? Pour le spectateur le mieux placé au monde, c'est loin d'être évident. "Après la rencontre, j'ai réalisé que j'avais vu un bon match de rugby, mais il a fallu un moment pour que je me rende compte à quel point la partie avait été excitante. Et quel suspense !" reconnaît l'arbitre Jim Fleming. Au mépris des sacro-saintes valeurs du rugby, la plupart des Néo-Zélandais, humiliés, ne raccompagnent pas les Bleus au vestiaire par une haie d'honneur. Jonah Lomu ne s'en est toujours pas remis : "J'étais un des cadres de l'équipe. J'ai demandé aux joueurs de rester pour féliciter les Français avec une haie d'honneur. Etre humble dans la victoire, c'est facile. Etre élégant dans la défaite, ça l'est moins. Beaucoup ont quitté la pelouse. Ils n'en avaient tout simplement pas le droit. Nombre d'entre eux étaient jeunes, et cette défaite était trop lourde à porter. " SOS supporters en détresse Dans les vestiaires, l'équipe de télévision qui devait tourner un documentaire narrant la victoire des All Blacks lors de cette Coupe du monde remballe son matériel, raconte le Guardian. Le film, qui aurait pu s'appeler Les Yeux dans les Blacks, ne verra jamais le jour. "Une ambiance de mort régnait dans le vestiaire, se souvient Andrew Mehrtens, le demi d'ouverture des Kiwis, dans le Herald Scotland. Nous étions tous dévastés. Il y avait la petite finale à jouer. Mais ça nous enthousiasmait autant que de rouler une pelle à notre grand-mère." Au pays, le choc est terrible aussi. Le gouvernement envisage sérieusement de mettre en place un numéro vert d'écoute pour les supporters en détresse, avant de renoncer, conscient du ridicule de la situation. En détresse ? Un parieur néo-zélandais inspiré, un seul, a misé sur les Bleus à 25/1 et empoche un gain de 30 000 euros. Les Français, eux, ont gagné leur Coupe du monde, même si la finale est dans une semaine. Les festivités s'étendront tellement que les Bleus ne feront illusion qu'une mi-temps contre l'Australie. Un match que tout le monde a oublié. Contrairement à cette demi-finale de légende.
  2. AAAAAAhhhhhh, Roselyne, celle qui n'a pas peur de rentrer dans les vestiaires des rugbymans😆😆.....rien ne lui fait peur à cette chère Roselyne,😆😉
  3. En temps qu'entraineur LAPORTE a reussi : 2 championnat de France ..1 avec le stade Francais et 1 avec Toulon 3 championnat d europe avec Toulon..... 4 tournois des 6 nations dont 2 grands chelem..
  4. """"""Du coup, dans ce genre de situation, même sans connaitre la vérité (on ne peut jamais la connaitre définitivement, il y a toujours 2 vérités), j'ai toujours tendance à prendre parti pour le salarié""""" En ce qui concerne des affaires, que se soit prud'homme ou de justice, par expérience, j'ai toujours voulu connaitre les deux sons de cloches........et faire ma propre opinion et j'ai rarement était déçu de celle-ci.................aprés, les textes de lois et un bon avocat font la différence....... Dans le cas de NOVES, je me range de son côté tout simplement car il a fait plus l'objet d'un règlement de compte qu'autre chose, et LAPORTE en a fait une affaire perso.........donc, je suis partisan pour la cause de NOVES.....😉
  5. SUR L EQUIPE DE CE JOUR / Suite du feuilleton NOVES-FFR Guy Novès : «Entendre des mensonges, ce n'est pas facile» Publié le jeudi 14 février 2019 à 16:53 | Mis à jour le 14/02/2019 à 18:05 Après les plaidoiries de son avocat et de celui de la FFR au conseil des Prud'hommes de Toulouse jeudi, Guy Novès s'est exprimé, toujours aussi déterminé à laver son honneur. La décision sera rendue le 8 avril prochain. Rugby - Rugby - Guy Novès sera fixé le 8 avril. (A. Mounic/L'Equipe)) Guy Novès sera fixé le 8 avril. (A. Mounic/L'Equipe)) «Quel est votre ressenti après cette audience? On m'avait dit que ce ne serait pas un bon moment. Ça n'a pas été un bon moment. On va laisser la justice suivre son cours. Les arguments de l'avocat de la Fédération ont-ils été cruels? Quand quelqu'un parle d'un audit, qui n'a finalement pas été déposé, ce qui est une forme de mensonge, je ne sais pas s'il faut tendre l'oreille. Est-ce une souffrance encore aujourd'hui? Ça fait quatorze mois que je vis ça, que je suis à la maison avec une bâche sur la tête en train d'attendre. Il faut encore attendre jusqu'à début avril et il y aura sûrement encore d'autres échéances ensuite. C'est une souffrance professionnelle. Décision rendue le 8 avril Il a beaucoup été question des heures supplémentaires que vous réclamez pour avoir analysé les matches. Quelle est votre réponse? J'ai toujours préféré regarder les matches de chez moi et déléguer à mes collaborateurs. J'ai ma façon de travailler, ça a porté ses fruits. Est-ce le combat de votre vie? C'est ma fille qui a employé ce terme, qui m'a dit que c'était le combat de ma vie, mais vous l'aurez compris, il s'agit d'un combat professionnel. Mais je n'y étais pas préparé. Ça m'est tombé dessus à 63 ans, sans raison valable de m'écarter. Je le vis très mal. Mais le combat d'une vie, c'est la santé! Est-ce votre rivalité avec Bernard Laporte qui a plombé votre situation? Il faut lui poser la question. Quand je me suis engagé, c'était avec une totale loyauté. J'ai toujours eu du respect pour lui. Moins pendant que je travaillais et aujourd'hui, cette notion est loin. «Je n'ai pas l'impression qu'on ait parlé de faute me concernant. Je leur laisse le soin de la trouver» Ni Bernard Laporte, ni Serge Simon n'étaient présents. Est-ce un manque de respect? Il y avait Sébastien Conchy (le DG). Et en ce moment, ils ont d'autres choses à faire et leur réflexion doit être ailleurs. Aujourd'hui, votre but est de prouver que la justice reconnaisse que votre licenciement était injustifié? On a beaucoup parlé de CDD, de CDI, mais je n'ai pas l'impression qu'on ait parlé de faute me concernant. Je leur laisse le soin de la trouver. L'avocat a laissé entendre que vous avez désobéi à votre hiérarchie... (Il sourit.) C'est Serge Simon qui le dit. Peut-on faire confiance à Serge Simon? J'ai lu qu'il était trop payé par rapport à ce qu'il méritait, mais ils ne s'en sont pas rendus compte... Tout ce qu'on dit me fait sourire. Novès aux prud'hommes : très chère Saint-Valentin pour la FFR Il a aussi été question d'emploi fictif avant que vous preniez votre rôle de sélectionneur lorsque vous étiez conseiller du président Camou... C'est incontournable de travailler en amont pour préparer la fonction. J'ai d'ailleurs une déposition de Pierre Camou sur ce rôle. Ressortez-vous plus blessé après cette audience? Je suis déjà énormément blessé. Et on m'avait préparé. Je m'attendais à ce que l'avocat de la FFR cherche à attirer l'attention des juges. D'entendre une série de mensonges, ce n'est pas facile. Dire que je me prends pour quelqu'un d'autre... J'ai la chance d'avoir gagné beaucoup de titres donc qu'on me fasse passer pour ce que je suis.» M. R., à Toulouse
  6. J'espère que Noves aura gain de cause, il ne méritait pas ça......
  7. Pour faire une bonne mêlée, il faut être bien lié et avoir une bonne liaison...............😉😆.............................
  8. Le grand chelem 1977; je m'en souviens également et celui là est resté dans les annales.... Nous avions le ""pack de fer"",Paparemborde,Paco,Cholley redouté,à lépoque par toutes les équipes.............avec le tracteur le plus redoutable Imbernon et Palmier................ Le double exploit des Bleus, c’est d’avoir accompli ce Grand Chelem sans avoir encaissé le moindre essai, avec les quinze mêmes joueurs sur les quatre matchs disputés par la France : Alain Paco, Robert Paparemborde, Jean-Pierre Rives, Jean-Claude Skrela, Gérard Cholley, Jean-François Imbernon, Michel Palmié, Jean-Pierre Bastiat, Dominique Harize, Roland Bertranne, Jean-Michel Aguirre, Jean-Pierre Romeu, Jacques Fouroux, François Sangalli, Jean-Luc Averous.
  9. bonne lecture à tous EXTRAIT DE L EQUIPE DE CE JOUR Cette équipe de France sans colonne vertébrale est la pire que j'ai vue. » Voilà le regard cinglant de Stephen Jones, chroniqueur du Times, sur les Bleus qui se sont inclinés dimanche face à l'équipe d'Angleterre. « La France n'a pas existé, écrit-il. Ce serait une perte de temps que d'essayer d'améliorer cette équipe (...). Il n'y a aucune base sur laquelle travailler, aucune colonne vertébrale. Quelqu'un sait-il quel était leur plan de jeu ? Cette équipe s'était-elle déjà entraînée ensemble ? (...) Il n'y a pas de preuve de la manière dont la France a essayé de jouer. Il n'y avait pas de stratégie pour ralentir les Anglais. Dans la bataille des rucks, la grande zone de combat, il n'y a pas eu de bataille. » Et ce journaliste expérimenté d'en rajouter une couche : « Une des plus grandes nations de sport a envoyé son équipe nationale pour un match crucial. Elle aurait pu tout aussi bien ne pas venir. » Dans le Daily Mail, on ironise d'ailleurs sur le fait qu'il n'y ait pas eu de match. « C'était plus un crash qu'un Crunch, avec une équipe de France qui a pris le mur en pleine face. Nos visiteurs étaient immondes. (...) À Twickenham, une célèbre rivalité sportive a été réduite à un douloureux chemin de croix. » Dans sa chronique pour ce même journal, Clive Woodward, patron des champions du monde 2003, écrit : « On peut juste se désespérer pour la France. Elle n'avait pas la moindre idée, et elle a été battue dans la stratégie et dans l'exécution. Ça a été une très mauvaise année pour cette équipe, et l'Ecosse devrait avoir toutes ses chances sur le prochain match à Paris. » « Brunel a cherché les ennuis » Les journaux anglais reviennent tous sur le choix de Jacques Brunel de titulariser Huget (un ailier) à l'arrière et le duo Fickou-Penaud (deux centres) aux ailes, oubliant de noter au passage que le Clermontois joue le plus souvent ailier en club désormais. « Brunel a cherché les ennuis, et c'est ce qu'il a eu », titre le Daily Telegraph, qui rappelle que l'Irlande avait souffert la semaine passée d'avoir titularisé son centre Henshaw à l'arrière. « La leçon de sélectionner un spécialiste en numéro 15 était claire comme du cristal. Sauf pour les Bleus. » « Le rugby est un sport pour spécialistes, tranche Stephen Jones dans le Times. Le triangle arrière était composé de joueurs reconvertis. L'Angleterre le savait, et Owen Farrell les a massacrés avec des coups de pieds de toutes sortes. » Pour l'ancien talonneur Brian Moore, dans le Telegraph, le XV de la Rose était de toute façon trop fort. « On peut dire que l'Angleterre a été bien aidée par l'aberrante sélection du triangle arrière français, par le fait que plusieurs de ses joueurs ne sont pas assez en forme, ou que la France n'avait pas de plan de jeu. Mais même si la France avait eu tout bon, l'intensité et l'intelligence de la première mi-temps anglaise aurait eu raison d'elle. » Pour Stephen Jones, la leçon de tout cela est que « Jacques Brunel doit s'en aller » et qu'il faut « incorporer un entraîneur étranger. Même un Anglais. Oui. Je le pense. Un rosbif. »
  10. Ils y arriveront, regarde les Argentins !!!!!!!!!
  11. Pas sur, car avant l'arrivée de tous ces ""étrangers"" en masse, le Championnat était autant et aussi intéressant et attrayant que maintenant................et nous avions un bon réservoir de joueurs pour l'équipe de France.........Ceci de mémoire........................ Maintenant, le Championnat est autre..............avec toutes ces vedettes internationales en fin de carrière, qui viennent en France pour s'en mettre plein les fouilles...On va les chercher, ils seraient bien bêtes de ne pas accepter les contrats alléchants..........
  12. Faut faire attention aux Ritaux, les jeunes U20 marchent bien et une bonne relève pointe à l'horizon, d'ici qu'ils ne nous passent pas devant il y a un pas si on continue comme ça.....
  13. Non, Laporte doit rester, il est en train de faire des réformes en profondeur qui auraient dues être faites depuis longtemps, mais le temps presse, et les autres nations les ont faites depuis un bon moment......Donc, j'attends de voir les résultats que celà va donner.........Surtout qu'il essaie de prendre copie sur les méthodes des Anglais et Irlandais, on verra bien, mais c'est surtout sur le TOP 14, faut-il avoir le meilleur championnat au monde au détriment de l'équipe de France ou alors avoir une équipe de France dans les meilleures nations mondiale et un championnat de ***....................???????????????
  14. Faux revoir tout le système du rugby Français, y a un trés gros chantier interne dans la maison, aussi bien dans les championnats, que dans l'équipe nationale.............bon courage Laporte, tu peux faire un sacré nettoyage dans le fond, trouver le bon coach, si tu veux pas que nous ne soyons ridicule à la CDM 2023......................😕..........................
  15. 1er démonstration des Anglais U20 contre nos Bleuets........ Angleterre 1.....France 0....... Nos jeunots ont subi la bataille de Crecy, les Anglais nous ont marché dessus tant qu'ils nous ont dominé, puissance, vitesse et réalisme, une belle leçon à l'Anglaise.................. Cet aprés midi, un Waterloo pointe à l'horizon................... En espérant que nos filles, 15 Jeanne d'Arc viennent nous sauver de ce naufrage et nous redonner un peu d'honneur.......................😉.....................(en espérant qu'elles ne se fassent pas bruler).............😃
  16. Exact..mais les jeunots qui arrivent ont montré du positif😕
  17. Ne te vexe pas, David, j'aime bien les ritaux😉
  18. idem, j'adore les ritals, et surtout les ritales😉.......musique, cuisine et culture...d'ailleurs, j'ai beaucoup aimé lire CAVANNA, les ritals, les ruskofs ect....Lire les ritals, c'est un livre de franche rigolade et comme tou latins, ont s'y reconnait😉
  19. TOURNOI DES 6 NATIONS FÉMININ 2019 - Pour son match d'ouverture au GGL Stadium, la bande à Safi N'Diaye et Gaëlle Hermet a atomisé des Galloises impuissantes (52-3). Les Bleues ont inscrit 9 essais et empochent donc facilement le bonus offensif. Elles démarrent le Tournoi de la meilleure des façons et s'accaparent la 1ère place grâce à leur goal average. Ca mérite d'être souligné, BRAVO LES FILLES................................🆒🆒🆒
  20. Oui, j'avais bien compris que cétait pour faire 3x2, car chaque wkend de tournoi, il y avait une équipe au repos....😆...............Les Ritals, peuchères, à part le foot et le cyclisme, le ski, ou ils sont bons, aprés s'est pire qu'une pizza sans tomate.....😆😆..................Ils sont fort pour jouer du violon et jouer au malade imaginaire,sont champion du monde😉...............
  21. Grosse équipe de l'Angleterre contre l'Irlande et beau jeu............Maintenant , seul, les Gallois peuvent leur barrer la route. l'Irlande craque les 20 dernière minutes, ce n'est pas habituel chez eux, en principe c'est là qu'ils font la différence, mais bon, leur 2eme mi temps a été à demi teinte.................. Les Ritals ont eu la main mise sur le dernier quart d heure et termine bien, mais, je pense que la cuillère de bois va leur revenir...... Dans les années 70 quand on parlait d'introduire la 6eme nation, il s'agissait de l'équipe de Roumanie, mais depuis elle n'existe plus..........Avoir pris l'Italie dans les 6 nations, je n'ai jamais bien compris le sens, ils n'ont pas le niveau et collectionne les cuillères de bois.........Mais, bon, cela nous évite, depuis une bonne décennie de finir dernier du tournoi....😉
  22. Je mise sur l'Irlande pour la 1er place................😆
  23. 1 mi-temps France 2e mi-temps Galles Match PGalles On manque d'intensité et de vitesse en 2eme mi temps, de maîtrise et trop de fautes pour vouloir gagner le match...... Par contre, mauvaise blague du ballon à Huget qui lui glisse des mains..Erreur ou manque de chance???!!!!!!! Sur le dernier essai, erreur de faire une passe sautée aussi longue et bien vu par le Gallois qui anticipe pour intercepter......Fallait que la balle passe par N'Tamack avant Huget, encore une erreur à la %@!?, alors qu'il fallait jouer classique.............................. Prochain match contre nos amis de prédilections, les Anglais, ça va piquer.............. Par contre, bonne rentrée des jeunots en fin de match...
  24. Exact, cest le fils de Mimile (Emile)...........S'il est aussi super bon que son père, et si les All Blacks ne le mangent pas en route, il fera parler de lui..........😆
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