Pour les plus sceptiques, allez donc consulter les réglementations antidopage sur le site de l'UCI ; et sachez que les deux tiers, voire les trois quart du peloton figurent sur la liste dite du "Groupe cible". Or il n'y a vraiment que très très peu de coureurs qui "oublient' les problèmes de géolocalisation, si ce n'est du côté de l'hexagone ; sachant qu'en apposant leur signature, au bas d'un contrat professionnel, ils adhèrent au respect de ces règles. Un travailleur n'a pas cette chance d'être suspendu, un an ou deux, pour faute grave ; il est irrémédiablement viré sur-le-champ !